N'en déplaise à Harpagon, son avarice est… un don.



Dans les Relays des gares, des aéroports, je joue à me faire mal en feuilletant les médias, c’est-à-dire en sautant d’un mensonge à l’autre.

Arrivé à destination, je poursuis mon jeu masochiste en allumant la radio et la télé. Je zappe avec l’espoir naïf de celui qui gratte un ticket de loto, (…)

Editorial



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