Par Gilles Bonafi pour Mondialisation.ca
Que se passera-il après la troisième guerre mondiale pour la France ? Pour ceux qui ont soif de connaissance et souhaitent des réponses précises il sera donné la manne, et, pour les autres qui liront ceci jusqu’au bout, la révélation de grands secrets.
Pour comprendre ce qui va suivre, il faut commencer par répondre à la question : comment en sommes-nous arrivés là ?
Les secrets de la révolution française
Pour beaucoup, la révolution française a été une libération, la fin du joug de la monarchie, les débuts de la République, mais, comme vous le verrez, preuves à l’appui, l’histoire véritable est à l’exact opposé.
En effet, la Révolution française a été organisée et contrôlée par une poignée de financiers essentiellement basés à Londres et en Suisse. Il existe un document, une preuve irréfutable qui a été effacée des livres d’histoire de la République ainsi que d’autres sources concordantes.
L’historien anglais Alger avait découvert aux Archives Nationales une lettre du Foreign-Office adressée le vendredi 13 septembre 1793 au banquier suisse Jean-Frédéric Perregaux qui fut le banquier officiel des Hébertistes (surnommés les exagérés), plus discrètement celui des Jacobins, et plus tard, Régent de la Banque de France de 1800 à 1808. Cette lettre avait été découverte dans les documents conservés par Danton lors de son arrestation et immédiatement archivée car elle impliquait trop de monde et remettait TOUT en question. Elle fut publiée dans son intégralité en 1920 par l’historien français Albert Mathiez, ouvrage que vous pouvez trouver à la bibliothèque d’Auch aux Archives Départementales à la cote 61 J 250 Gilbert Brégail qui fut co-auteur des « Annales révolutionnaires. Organe de la société des études Robespierristes ». Mathiez au sein des Etudes Robespierristes publia en 1918 « La conspiration de l’étranger », Librairie Armand Colin.
Que dit cette lettre (en voici la quintessence) :
« Nous désirons que vous continuiez vos efforts et que vous avanciez 3000 livres à M.C.D., (Michel Chemin Deforgues) 12000 livres à W.T. (Westerman) et 1000 livres à De M. pour les services essentiels qu’ils nous ont rendus en soufflant le feu et en portant les Jac. (Jacobins) au paroxysme de la fureur. »
Voici la photo de la page 131 de l’ouvrage de Mathiez au sein duquel se trouve la lettre (en anglais et en français) dans son intégralité au chapitre « Danton et l’or anglais » :
Il est intéressant de noter que le traître Westerman a été le général responsable des massacres de Vendée. Quant à Michel Chemin Deforgues, il fut nommé par la Convention au Conseil exécutif du ministère des affaires étrangères au sein duquel il s’occupait, entre autres, de recruter les agents du contre-espionnage britannique (magnifique n’est-ce pas !!!) …
Vous avez donc la preuve ici que nos « grands » prêtres de la République étaient totalement corrompus et manipulés par Londres et ses banquiers. Mais revenons à notre homme clé, le « grand » banquier suisse Jean-Frédéric Perregaux. Il a été en effet l’homme de l’ombre de la Révolution française.
Jean-Frédéric Perregaux n’était pas seulement un grand financier, il était aussi est un faiseur de roi. Il a joué un rôle clé dans l’accession au pouvoir du corrompu Danton qui a tenté d’extorquer 2 millions de livres à l’Angleterre en échange de la tête de Louis XVI ne comprenant pas le refus de Londres de payer (il ne savait pas que Londres et ses banquiers voulaient la tête du Roi). Perregaux s’était d’ailleurs enfui en Suisse juste avant l’arrestation de Danton et, reprenant la grande habitude de ses comparses, jeté le bébé avec l’eau du bain. Plus tard, Père gueux jouera le même rôle clé dans l’ascension de Napoléon au pouvoir qui, en bon petit commis bien obéissant, le nommera Régent de la Banque de France en 1800 lui cédant ainsi les clés du coffre de la France. Il faut savoir qu’à ses débuts la Banque de France ne fut pas une institution publique mais une société privée incluant la banque privée de Perregaux (Suisse) ainsi que d’autres actionnaires privés dont voici la liste : Denis de Rougemont (2ème plus grand actionnaire), Famille Mallet (Suisse), famille Hottinguer (Suisse), Famille Rothschild (Londres), Claude Périer (qui a rédigé les statuts de la Banque de France), Martin et frères, Joseph Hugues d’Allard, Charles Vernes.
Comme vous le voyez ici, les Français, après avoir coupé la tête du roi, sont devenus les esclaves d’une dizaine de personnes. Il est intéressant de noter que Napoléon a été dès le début contrôlé par la haute finance au travers de la courtisane de luxe Joséphine de Bauharnais, recrutée au sein de la loge de la Triple Lumière, puis hébergée par le banquier suisse et ami de Perregaux Jean-Jacques Rougemont dont le fils Denis, était l’agent du roi de Prusse. Vous comprenez mieux maintenant les incessantes boucheries napoléoniennes financées à crédit par la société privée Banque de France, dont les membres finançaient aussi les autres pays européens. Les livres d’histoires de la République ont une seule utilité, celle de conserver le troupeau de chèvres dans un état de soumission total.
Pour approfondir et bien comprendre comment a été organisée la révolution française au sein du club des Cordeliers et des Jacobins, voici le fil d’Ariane.
Perregaux avait comme agent de liaison le major Gall vivant à Paris boulevard de la Bonne nouvelle, espion de l’Angleterre et surtout agent des banquiers de Londres. Il pouvait aussi compter sur son premier commis Jannot Lançon, membre du Club des Cordeliers (bien plus tard les commis de la haute finance se nommeront Poutine, Trump, Macron et consorts…). Ainsi, par l’entremise de Lançon, Perregaux avait créé un groupe secret : la main noire au sein des clubs des Cordeliers et des Jacobins. Ce groupe avait pour membres Charlotte Corday et Stanislas Maillard entre autres. Ce dernier illustre à merveille ce que sont les grands hommes de la Révolution, les ripouxblicains.
Donc Maillard, surnommé « cogne dur », l’homme de main de Perregaux et organisateur des massacres de septembre, avait recruté 300 soudards, bandits et assassins avec les fonds de Perregaux afin d’organiser la prise de la Bastille le 14 juillet 1789. C’est lui qui promènera la tête de Bernard-René Jourdan de Launey, gouverneur de la Bastille, au bout d’une pique. Plus tard, les tanneries de la rue de la lingerie à Paris proche des lieux d’exécution, raffoleront des peaux humaines des nobles guillotinés afin de fabriquer des objets en cuir (gants, bottines, etc.). Pour ceux qui doutent des liens financiers liant Maillard et le banquier Suisse, il existe la lettre du 3 ventôse an II qui se trouve à la BNF. On a beau effacer les preuves (Danton, Westerman et bien d’autres ont été guillotinés afin d’éliminer les témoins gênants), il en reste toujours…
Dès le début, la République a mis au cœur du système la notion de gauche et de droite et leur alternance. Cela n’est pas sans rappeler comment se conduit un troupeau de chèvres. En effet, pour mener les chèvres dans leur enclos dans les montagnes, il faut de bons chiens et surtout bien alterner gauche, droite, gauche, droite…
Désormais, lorsque se dérouleront les célébrations du 14 juillet, vous aurez, à n’en pas douter, une légère envie de vomir. Il est grand temps de passer à autre chose, les chèvres sont désormais épuisées et ne veulent pas aller à l’abattoir !
Le Royaume de France
Je vous ai parlé du passé, maintenant parlons de demain. Comme indiqué dans le titre nous aurons bientôt une troisième guerre mondiale. La situation financière internationale est en effet irrécupérable, les financiers ayant joué dix PIB de la planète et les chèvres ne pouvant plus être nourries doivent désormais être menées vers l’abattoir, une magnifique tradition de la haute finance. Je vous rappelle que la première guerre mondiale eut pour origine la crise de 1907, la deuxième, la crise de 1929 et que depuis 2008 nous avons une finance zombie sous transfusion.
C’est pour cette raison que je travaille actuellement sur mon livre intitulé « La fin de la science économique » qui démontre que tout, absolument TOUT, repose sur les deux théorèmes de Kurt Gödel : incomplétude et inconsistance (les mots ont un sens) au service de nos « grands » financiers.
La France subira bientôt une double invasion : de la Russie à l’Est et au Centre, des Républiques soi-disant musulmanes au Sud (République islamique, bel oxymore !). La France sera divisée en trois zones et seule une petite partie de l’Ouest sera préservée avec l’arrivée (exactement comme révélé dans les prophéties) du Grand Monarque Henri V en Bretagne. Ce sera le moment de faire son choix et bien sûr de rejoindre notre Grand Roi car il ne peut exister de sociétés sans principe supérieur, ce que René Guénon nomme la tradition. Il a d’ailleurs tout expliqué concernant la fin de notre cycle (le Kali yuga) au sein de 2 ouvrages clés : « la crise du monde moderne » et « le règne de la quantité et le signe des temps ».
En effet, à la fin du Kali yuga, l’âge de fer, tout s’inverse et suit un processus infernal que Guénon nomme la solidification du monde, l’an fer (que celui qui a l’intelligence comprenne). Vous saisissez désormais pourquoi Oppenheimer pleurait en récitant la Bhagavad-Gita après l’essai nucléaire Trinity : « je suis le temps, le destructeur des mondes… »
Résoudre le problème monétaire
Pour commencer sur des bases saines, il faudra commencer par s’attaquer au problème monétaire. Comme je l’ai écrit et expliqué dans mon article « Repenser la monnaie », nous sommes actuellement dans un non système monétaire et les cryptos monnaies ne sont pas la solution mais le problème car elles sont le dernier avatar d’un système qui tente d’échapper au couperet du temps par la multiplication des pains pour une petite poignée d’élus (Idriss, un garçon pourtant intelligent, n’a rien compris à la monnaie). La monnaie est intimement liée au temps, c’est pour cela que les romains frappaient monnaie dans le temple de Junon Moneta (l’origine des mots monnaie/monétaire) qui était la fille de Saturne (Chronos chez les grecs) le dieu du temps. Vous comprenez mieux pourquoi quatre métaux étaient utilisés, métaux dont la valeur dépendait de leur résistance au temps : l’or, l’argent, le cuivre et le fer (l’âge d’or, d’argent, de cuivre et de fer). Le fer étant celui qui résistait le moins. Un crédit est l’injection d’argent du futur dans le présent. Vous saisissez maintenant l’importance du passage d’Alice au Pays des merveilles dans lequel Alice questionne la Reine Rouge : « Mais, Reine Rouge nous courons vite et le paysage autour de nous ne change pas ? » La réponse de la Reine est lumineuse : « Nous courons pour rester à la même place. » C’est d’ailleurs ce que j’avais expliqué en reprenant le mythe de Sisyphe qui avait défié Zeus et fut condamné à rouler en haut d’un volcan un énorme rocher qui revenait inlassablement au même endroit, l’obligeant à répéter à l’infini son dur labeur. Voici l’explication de l’expression un travail de Sisyphe. Or, aujourd’hui Sisyphe a inventé l’ascenseur, l’obligeant à rouler son énorme rocher dans un mécanisme qui va de plus en plus vite. Pour tenter d’échapper à la malédiction du temps, des petits malins ont inventé les cryptomonnaies.
En ce qui concerne le Bitcoin, il n’a pas été inventé par Satoshi Nakamoto, qui est un nom inventé à partir du nom de grandes firmes : Samsung (SA), Toshiba (TOSHI), Nakamichi (NAKA), Motorola (MOTO). En effet le Bitcoin a été créé par la NSA (National, Security Agency) en regroupant les travaux et réflexions d’un groupe de spécialistes. C’est Richard Egan pilote d’hélicoptère du Marine Corps des Etats-Unis qui a travaillé pour Lockheed Martin, Honeywell et Intel devenant ensuite ambassadeur américain en Irlande qui en a été l’organisateur. Il a fondé en 1979 EMC Corporation stylisée comme EMC². C’est au travers de la Conférence RSA (1991) géré par RSA, la Division Sécurité d’EMC qu’ont été regroupés les différents travaux des véritables créateurs du Bitcoin : Adam Back, Nick Szabo, David Chaum, Ron Rivest , Adi Shamir, Eli Biham et Leonard Adleman. Dans mon livre je vous donnerai les détails et surtout explorerai les racines ésotériques de cette création. Pour rappel le Bitcoin a été présenté en novembre 2008 (novembre, 11ème mois), il est né en janvier 2009 (2+9=11) et sa 1ère transaction a été réalisée un 11 janvier à 11h du soir (2019). Cela fait étrangement penser à la fin de la 1ère guerre mondiale se terminant un 11-11 à 11h et surtout à la porte de la foudre du temple Sensō-ji fondé par un certain…Nakamoto… (le hasard bien sûr), le Kaminarimon de dimension 11m par 11m qui a pour fonction essentielle de protéger des démons (cf fête de Setsubun). L’objectif principal du Bitcoin est de tester et améliorer la Blockchain (la chaîne qui enferme) afin de créer une monnaie digitale de banque centrale (CBDC), il a donc vocation à disparaître car c’est une version bêêêêêta.
Nick Szabo écrivait ainsi : « Je suggère que « le cercle herméneutique » de la partie et du tout puisse être formalisé le long des lignes suivantes – plus de bits de modèle, plus d’informations que nous avons ; mais il est infaisable d’apprendre du tout…Ceci est un domaine entier plein d’algorithmes pour découvrir, des algorithmes que rapprochent dans le temps de polynôme la solution non calculable du problème d’apprentissage du tout. »
L’unique solution pour le Royaume de France sera donc de créer une nouvelle monnaie basée sur du réel que nous nommerons l’Alba. Elle sera adossée aux réserves colossales d’hydrogène blanc découvertes dans notre sous-sol. Les 2 problèmes fondamentaux énergétiques et monétaires seront résolus. Cela renvoie aux prophéties d’Esaïe 45 : 3 : « Je te donnerai des trésors cachés. Des richesses enfouies… »
Bien sûr, il ne s’agira pas de revenir à la royauté de l’ancien régime mais de bâtir une société traditionnelle basée sur les trois ordres fonctionnant en harmonie et égalité devant la loi : ceux qui produisent, ceux qui prient et soignent, ceux qui jugent et protègent. Afin d’éviter toute concentration indue de pouvoir, l’ensemble des terres appartiendront au Roi et seront gérées par un système de Librechain (une Blockchain revisitée) entièrement contrôlé et accessible à tous dans la plus grande transparence. Tout sera distribué à l’aide d’un bail emphytéotique permettant aux agriculteurs de cultiver les terres en échange d’un loyer très faible. Je rappelle -pour ceux que cela pourrait offusquer- que la terre et votre maison ne vous appartiennent pas, elles appartiennent aux banquiers en fonction de vos crédits et à l’Etat qui peut vous exproprier à tout moment car vous devez payer à vie une taxe foncière.
En ce qui concerne la délinquance, le problème sera définitivement résolu par un bannissement total et définitif de tous ceux qui auront commis un délit grave ou avec récidive pour les petits délits avec confiscation totale des biens, un système de bannissement qui visera particulièrement les représentants et émissaires du Roi qui seront particulièrement surveillés. Plus besoin de construire de prisons, un contrôle strict aux frontières sera mis en place… Le fonctionnement du Royaume sera totalement décentralisé avec une gestion locale et régionale. Les politiques professionnels n’existeront plus car tout mandat local ou régional ne sera valable qu’une seule fois pour chaque Royançais (il remplacera le mot citoyen). Des structures de conseils seront mises en place pour les plus compétents afin de ne pas perdre l’expérience acquise. J’invite d’ailleurs ceux qui veulent s’impliquer dans le fonctionnement du futur Royaume à réfléchir et à transmettre le temps venu leurs suggestions qui seront toutes étudiées avec le plus grand sérieux.
Pour résumer, gardez l’espoir, mettez-vous en sécurité et gardez la forme en attendant le grand moment, celui où vous jouerez enfin votre rôle dans la mission divine de la France.
Gilles Bonafi
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