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Hier nous avons fait état des propos de Lavrov dénonçant le double jeu de Macron à propos de l’Ukraine. D’un côté, jouant lui et les médias français aux ordres le fer de lance du jusqu’au boutisme, de toutes les déstabilisations en Europe, de la Roumanie à la Georgie, en passant par l’Arménie et de l’autre proposant des négociations dans le dos de Zelensky. Et la représentante officielle du ministère des Affaires étrangères, Maria Zakharova a dévoilé le peu de cas que l’occident faisait de sa marionnette Zelensky et à quel point celle-ci devenait aussi dangereuse qu’une grenade dégoupillée. Il faut négocier, nous voulons la paix mais une paix stable, pas un foyer de tension que vous pourrez activer à votre aise comme vous le faites en Corée, au Moyen orient disent clairement les Russes en mettant à jour ce que la diplomatie ordinaire cache. Parce que les Européens, la France en tête ne sont plus la garantie de rien. Nos politiciens ont besoin d’une cure de désintoxication … à la dépendance atlantiste, une drogue dure…
Danielle Bleitrach
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La représentante officielle du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, n’a pas maché ses mots en ce qui concerne le dirigeant de Kiev, Vladimir Zelensky. Selon elle, c’est une personne anormale et inadéquate.
«Je veux dire qu’écouter Zelensky est dangereux. Pour deux raisons. D’abord parce que c’est une personne anormale. Je ne dis pas cela à la légère… C’est un fait. C’est une personne inadéquate qui est constamment sous l’influence de… drogues», a déclaré Zakharova, citée par RT.
Elle a précisé que Zelensky se droguait depuis assez longtemps. De plus, il est «ivre d’ambition» et de pouvoir.
Cette accusation de dépendance à la drogue est connue depuis longtemps comme l’est celle de mikheil saakashvili, l’ex-président de Georgie et complice dans la répression et le trafic d’arme du très mondain raphaêl Glucksmann. C’est tout un monde otage de son extrême-droite et prêt comme la «dissidence» en Amérique latine à relayer n’importe quel ordre de l’occident et de la CIA, qui a été placé à la tête des «révolutions de couleur» et dont les dirigeants deviennent souvent encombrants mais dont l’occident a fait des héros.
Une autre raison pour laquelle il est dangereux d’écouter Zelensky, a ajouté le diplomate, est l’expiration de son mandat présidentiel. «Ses pouvoirs présidentiels, son mandat de président, ont pris fin. Comment décrire l’état juridique dans lequel il se trouve ? Ils ne l’utilisent même plus sur le territoire ukrainien à l’heure actuelle», a-t-elle déclaré dans une interview.
Le caractère de «coup d’État» permanent du type de pouvoir installé par les «révolutions de couleur» et soutenu par des opérations de propagande qui en arrivent comme en Syrie à présenter comme un libérateur un terroriste manipulé en fait par la CIA ou des Kurdes révolutionnaires et féministes du FDS, en fait les pions du pentagone là encore sont des créatures que l’on a vu à l’œuvre partout. En aucun cas ils n’assurent paix et développement mais la guerre perpétuelle.
Zakharova a également souligné le fait que l’homme politique de Kiev fait constamment des déclarations contradictoires. Il y a là l’aboutissement d’un processus dans lequel se plier aux visées contradictoires du suzerain US n’est pas une sinécure. Et le malheureux Zelensky a au moins raison sur un point : quand on l’a empêché de négocier alors qu’il avait été élu pour faire la paix dans le Donbass avec le peuple russe frère, on lui avait promis un soutien total jusqu’au bout.
Mais dès cette époque, les USA de Biden jouaient le double jeu, le président russe Vladimir Poutine a déclaré ce jeudi 26 décembre 2024 que le président américain Joe Biden lui avait laissé entendre en 2021 qu’il était d’accord pour reporter l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN.
«Je ne sais pas ce qui se dit aujourd’hui dans l’équipe émergente du président élu américain [Donald Trump]. Je sais qu’on m’en a parlé en 2021 alors que je discutais avec l’actuel président Biden. C’est exactement ce qu’il a suggéré : reporter de 10 à 15 ans l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN, car elle n’est pas encore prête. J’ai raisonnablement répondu : «Oui, elle n’est pas prête aujourd’hui mais vous la préparerez et l’accepterez»», a déclaré Poutine lors d’une conférence de presse.
De toute manière ce régime là comme d’autres était bel et bien destiné à entretenir une instabilité permanente et le président Poutine s’est repenti de s’être fait promener par la France de Hollande et fabius, l’Allemagne de Meckel qui en même temps qu’ils se portaient garants des accords de Minsk créaient les conditions exigées par l’ambassade des États-Unis, madame Nuland et tous ceux y compris les Clinton, le fils Biden qui se partageaient le gâteau du gaz ukrainien.
Aidés de leurs garde prétorienne néo-nazie, les régiments privatisés comme Azov ils ont effrayé Zelensky tout en faisant miroiter à celui qu’ils avaient déjà gorgé de cocaïne un soutien inconditionnel, alors qu’il lui assurait un simple lieu de déstabilisation et de trafic permanent comme ils n’ont cessé de le faire tout au long des bases US… l’UE est-elle autre chose qu’une base… mais Zelensky est devenu ingérable…
D’ailleurs, comme l’a déjà déclaré l’expert militaro-politique Yan Gagin, le chef du régime de Kiev sera jugé après la fin de l’opération militaire spéciale, mais il ne vivra peut-être pas assez longtemps.
Effectivement le sort de ces gens-là est de finir massacré par la CIA quand ils se débattent un peu trop et deviennent gênant, là encore les exemples abondent et prouvent que les USA ont décidé de traiter l’Europe comme tous les autres continents sans les ménagements que l’on réserve aux alliés complices.
On ne comprend rien aux incohérences du gouvernement français, de Macron et du malheureux Bayrou que l’on accuse déjà de boire plus que de raison, si on ne mesure pas ce que signifie la dépendance… à l’atlantisme.
Une séance de desintoxication s’imposerait-elle pour Vincent Boulet et kamenka et quelques autres ?
source : Histoire et Société