La censure médiatique criminelle continue de plus belle concernant les effets indésirables des injections covid. Pourtant, le centre officiel de pharmacovigilance français a comptabilisé au moins 50 000 effets indésirables graves. Ce n’est pas suffisant pour la presse, du coup il faut absolument censurer tout ce qui peut déstabiliser la Doxa. Ce coup-ci c’est le cas d’une patiente qui a été atteinte de la maladie de Charcot malgré son jeune âge suite à l’injection. Elle est dans un état catastrophique. Malgré la reconnaissance officielle du lien direct par les autorités médicales, la presse veut censurer comme tout le monde a pu le constater puisque après publication de l’article, il a le jour même été dépublié.
Comme vous pouvez le constater sur l’image ci-dessus, l’article n’existe plus sur ce site du service public (France bleu/France 3) ! Nous avons daonc un média du service public qui censure une information vérifiée d’un lien de causalité entre la vaccination et la maladie de Charcot de la victime certifiée par l’ANSM ! Complètement fou !
Mais le pire dans cette histoire c’est le comportement des médecins qui ont consulté la victime. Personne ne la prenait au sérieux, elle a même été traitée de « complotiste » ! Comportement indigne, ce n’est rien d’autre qu’une faute professionnelle impardonnable. Faut-il rappeler que cette jeune femme est vaccinée, elle ne peut donc pas être traitée d’antivax. Décidément le corps médical français est irrécupérable, perdu à jamais (sauf quelques rares exceptions).