Deux mois après les fusillades liées au narcotrafic dans un quartier de la capitale bretonne, la vie reprend pour les associations locales et les habitants. Beaucoup dénoncent l’absence de l’État pour les soutenir.
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Deux mois après les fusillades liées au narcotrafic dans un quartier de la capitale bretonne, la vie reprend pour les associations locales et les habitants. Beaucoup dénoncent l’absence de l’État pour les soutenir.
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