Source Géopolitique Profonde
Le 1er janvier à 19h, Jean Molliné, Andrzej Linowiecki et Jean-Luc Robert sont les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.
Jean Molliné, auteur engagé, est connu pour “Apocalypse : On n’a rien vu venir”, un ouvrage prophétique dénonçant les dérives sociétales et spirituelles contemporaines. Sans surprise, ce livre est boycotté par les grandes maisons d’édition. Il vient nous en parler lors de cette émission.
Andrzej Linowiecki est un écrivain et historien polonais spécialisé dans les mouvements d’opposition en Europe de l’Est, notamment ceux qui ont lutté contre le communisme. Il a écrit plusieurs ouvrages sur l’histoire de la Pologne, en particulier sur le mouvement Solidarnosc, et son rôle dans la chute du régime soviétique.
Jean-Luc Robert est un auteur et conférencier français reconnu pour ses analyses critiques sur les dérives sociétales, en particulier celles liées à la santé mentale et à la neurodiversité. Après une carrière en tant que psychologue spécialisé dans les troubles du comportement chez les enfants, il se tourne vers l’écriture et la vulgarisation pour dénoncer les excès de la médicalisation à outrance. Son dernier ouvrage, “Neuro divers +”, explore les enjeux et les conséquences du surdiagnostic chez les jeunes et les adultes, dévoilant les dangers de la marchandisation de la santé mentale.
Les prophéties de l’Apocalypse selon Saint-Jean prennent vie aujourd’hui
Les écrits de Saint-Jean décrivent un monde au bord du gouffre, où les nations se laissent séduire par les promesses du mal. L’Apocalypse annonce une inversion totale des valeurs, une époque où le bien devient mal, et où le mal est glorifié. Nous y sommes. La République française en est une illustration flagrante, gangrenée par des forces occultes qui agissent à visage découvert, sans que la majorité de la population ne réagisse.
Le diable n’arrive jamais brutalement : il s’insinue, change les repères et désarme les consciences. Les symboles sont pourtant visibles. Des cérémonies comme celles des Jeux Olympiques de Paris 2024 mettent en scène des images qui rappellent les enfers, l’occultisme, et l’adoration des forces obscures. La reconstruction de Notre-Dame, emblème de la foi chrétienne, semble transformée en un monument dédié à un nouvel ordre profane. Ces signes montrent que le mal n’agit plus dans l’ombre mais cherche à être accepté, légitimé.
Pourquoi la population reste aveugle face au mal ?
Le mal avance masqué, sous des formes séduisantes : le progrès, la liberté, l’inclusivité. L’idéologie transgenriste, par exemple, se présente comme une quête de justice sociale, mais elle cible directement les enfants, semant la confusion identitaire dès le plus jeune âge. Derrière cette façade se cache une tentative de destruction de la nature humaine, de ce qui différencie l’homme de la femme, et donc de l’ordre voulu par Dieu.
Les médias et les élites jouent un rôle central dans cette manipulation. En contrôlant l’information, ils ridiculisent toute opposition, la qualifiant de réactionnaire ou de complotiste. La population, submergée par ce flot constant de propagande, finit par accepter ce qui, il y a quelques années encore, aurait été impensable. Le diable prospère grâce à l’indifférence et à l’ignorance volontaire.
Les propagateurs du mal à l’œuvre
Qui orchestre cette chute ? Ce ne sont pas seulement des figures visibles comme des politiciens ou des célébrités. Il s’agit d’un réseau complexe d’institutions, de lobbies, et de loges secrètes. Ces cercles influents agissent sur plusieurs fronts : éducation, culture, politique, et même religion. Leur objectif est clair : détruire les piliers traditionnels qui soutiennent les nations, pour imposer un nouvel ordre mondial où toute morale est inversée.
La pédocriminalité, autrefois unanimement condamnée, commence à être normalisée par certaines œuvres artistiques ou campagnes médiatiques. Ce phénomène est une attaque volontaire contre l’innocence. Les cérémonies publiques, truffées de symboles occultes servent à habituer les masses à cette inversion des valeurs, à banaliser l’ignoble.
L’Apocalypse est-elle déjà là ?
Tout indique que nous vivons les temps décrits par Saint-Jean. La prolifération des crises – sociales, économiques, spirituelles – correspond aux fléaux prophétisés. Le chaos est fabriqué pour désorienter les peuples et les rendre vulnérables. La montée en puissance de l’idéologie transgenriste, l’effondrement moral et l’attaque contre les symboles religieux sont autant de preuves que le mal veut effacer toute trace de l’ordre divin.
Mais il reste un espoir. Les textes sacrés ne se limitent pas à annoncer des catastrophes : ils montrent aussi comment s’en prémunir. La résistance passe par un retour aux fondamentaux. Il faut reconquérir les valeurs chrétiennes, refuser la passivité et démasquer ceux qui propagent ces idéologies destructrices.
Comment résister dans ces temps sataniques ?
La solution commence par une prise de conscience. Il est impératif de reconnaître les signes et de comprendre que rien de tout cela n’est dû au hasard. La résignation n’est pas une option. Chaque individu peut agir en rejetant les narratifs imposés, en refusant de céder à la peur ou à l’apathie.
Il faut aussi reconstruire les structures morales et spirituelles détruites. Cela passe par la transmission des valeurs traditionnelles aux jeunes générations, la préservation des symboles chrétiens, et le rejet des idéologies nihilistes. Enfin, il est crucial de s’unir avec ceux qui défendent la vérité, pour créer une force capable de s’opposer aux propagateurs du chaos.
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