Le Dr Hippocrate a posté sur X une pertinente analyse de la surmortalité en Occident depuis 2021. C’est-à-dire depuis l’injection en masse des vaccins à ARN messager anti covid-19. Tout le monde peut constater cette explosion de la surmortalité qui est parfois effrayante comme c’est le cas aux Pays-Bas ou en Irlande. On ne peut pas ignorer cette information de santé publique qui devrait faire la une des journaux nuit et jour pendant des mois. C’est d’autant plus grave que cette augmentation se stabilise et se maintient.
Le problème, c’est la réponse à la question : « Pourquoi cette surmortalité ? » La seule différence entre 2019-2020 et les années suivantes est la vaccination massive de plus de 90 % de la population occidentale. Il n’y a pas eu d’autres événements systémiques qui puissent expliquer ce cataclysme. D’autant que l’effet moisson ne peut pas durer plusieurs années à la fois, c’est un non-sens épidémiologique.
Comparaison avec l’Algérie qui a très peu vacciné
Du coup, je propose, pour appuyer le raisonnement du Docteur Hippocrate, de comparer maintenant les chiffres de la surmortalité en Occident avec des chiffres de la surmortalité dans les pays qui ont très peu vacciné contre le covid-19 comme l’Algérie par exemple. Cette dernière a un taux de vaccination 2 doses de 13.14%, autant dire rien par rapport aux pays occidentaux.
Comme tout le monde peut l’observer, la mortalité avait augmenté considérablement l’année de la crise sanitaire et la suivante à cause des effets indirects des confinements et autres restrictions catastrophiques pour la santé publique. Depuis deux ans maintenant, la mortalité est en baisse et elle revient à son niveau d’avant crise covid. Sachant qu’une faible augmentation régulière et annuelle de la mortalité est tout à fait normal étant donné l’explosion démographique que connaît le pays.
Il faut réaliser ce même travail statistique avec d’autres pays africains qui ont moins injecté. Ça ne fera que confirmer le lien direct entre les injections et la surmortalité. C’est une étude observationnelle simple à réaliser et dont les conséquences sont dramatiques pour la Doxa et Big Pharma.