Voici ce qui se passe dans les WC de notre prestigieuse école à former les élites politiques de demain. Une caméra espion a été posée dans les toilettes afin que des pervers sexuels puissent voir les jeunes étudiantes dénudées. Non seulement une caméra a été trouvée mais de surcroît, malgré le signalement, un autre pervers en a installé une nouvelle ! Trenkil !
Il faut dire que cette école prestigieuse des élites parisiennes a été dirigée par de grands pervers notamment un certain Richard Descoings dont la mort à New York nous en dit long sur ses mœurs. Sans oublier Olivier Duhamel, le pédocriminel incestueux… On comprend beaucoup mieux maintenant les nombreux scandales sexuels des politiques parisiens que la presse à scandale a multiplié ces dernières années.
Les étudiants « se disent inquiets pour leur intimité et leur sécurité ». a fait savoir à nos confrères du Figaro Etudiant Quentin Coton, responsable du syndicat étudiant UNI à Sciences Po. Et pour cause, à Sciences Po Paris, des caméras dissimulées dans les toilettes de la bibliothèque ont été découvertes à deux reprises.
Le premier dispositif, repéré mi-septembre, était un petit boîtier blanc, aimanté au miroir des toilettes mixtes, et orienté vers la cuvette, détaille Le Parisien. Une fois signalé, l’appareil avait disparu avant que la police n’ait pu l’analyser. La direction de Sciences Po avait déposé plainte dans la foulée. « Elle avait toutefois préféré ne pas avertir ses étudiants et enseignants de l’incident, pour ne pas les inquiéter », a rappelé Maxime Pontey, président du syndicat étudiant Nova. Et Inès Fontenelle, élève de Sciences Po élue de l’Union étudiante, d’ajouter auprès du Parisien : « Nous avons été les premiers à en informer la communauté étudiante. »
Des images visionnées en direct
Un nouvel incident est survenu vendredi : une autre caméra a été trouvée, cette fois fixée au distributeur de protections périodiques. Cette caméra, récupérée par une étudiante, a été transmise aux autorités pour analyse. Selon les premiers éléments, il s’agirait d’une caméra connectée capable de transmettre les images en direct sur un smartphone. L’école a alors déposé un complément de plainte. « Des recherches ont d’ores et déjà été lancées dans l’ensemble des locaux et seront dorénavant systématisées », a fait savoir la direction de l’école…