Le transhumanisme sur la table des gouvernants politiques. Rapports – Les moutons enragés


Par Liliane Held Khawam pour son nouveau site CYBERBABEL** (Description en fin d’article)

Tour de Babel

Nous sommes inondés de nanoparticules en tous genres et les associations de protection des consommateurs semblent dépasser dans leur tâche d’informer. Ainsi, en 2021, la Fédération romande des consommateurs tente de traiter le sujet.

Voir : Politique publique française dans les NBIC : nano et bio-technologies, informatique, sciences cognitives

« Les nanotechnologies font de plus en plus partie de notre quotidien: cosmétiques, textiles, emballages alimentaires, matériel de sport… Portes ouvertes sur l’infiniment petit, dont la place ne cesse de croître dans le monde de la consommation. » Puis à la question du problème que posent les nanos, on lit: « Les minuscules nanos franchissent facilement les barrières biologiques. Et leurs effets combinés sont un mystère. Une fois dans l’environnement, ils s’agrègent ensemble et se retrouvent avec de nouvelles caractéristiques inconnues et difficiles à prévoir. Il est aujourd’hui très compliqué de connaitre l’effet à long terme sur la santé ou sur l’environnement. S’il est enfin possible de détecter leur présence et de caractériser leur composition, les résultats sont peu fiables car peu reproductibles. »https://www.frc.ch/dossiers/dossier_nanotechnologies/

Le journal oublie de préciser que les nanos franchissent la barrière hémato-encéphalique. Voici une précision qui vaut son pesant d’or:

« Les nanoparticules sont présentes dans de nombreux produits de consommation courante : emballages alimentaires, aliments, peintures, dentifrices… Or, elles sont dangereuses pour les neurones et la barrière hémato-encéphalique qui sert à protéger le cerveau. Une étude française apporte de nouvelles preuves de leur nocivité pour les centres nerveux. »https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/medecine-nanoparticules-danger-cerveau-34445/

Malgré sa nocivité sur le corps humain, nous trouvons des nanoparticules à peu près partout! Et les vaccins en sont dotés aussi. Vous trouverez ici un rapport qui tente de relativiser les travaux d’une équipe française:

Aluminium et vaccins – hcspr20130711_aluminiumetvaccins Télécharger

Et voilà qu’en 2020, c’est plus de 80% de l’humanité à qui l’on est supposé avoir injecté un produit, dit vaccin nanotechnologique. C’est ainsi que la nanotechnologie est devenue subitement à la mode en 2020 lors de l’épisode SARS CoV2. Des injections à ARN messager ont été mises à disposition du public en quelques semaines dans les pays du monde entier. La particularité de ces produits est qu’ils sont dotés de nanoparticules lipidiques, Ce sont donc des produits issus entre autres de la nanotechnologie que le grand public ne connaissait pas. Nous avons alerté sur le sujet dès le début de la crise en 2020.

Reset de la médecine par la nanotechnolgie. Transhumanisme en vue. décembre 28, 2020

Peu importent les contestations des uns et des autres, les autorités ont imposé de manière plus ou moins coercitive l’injection de ces produits à tout un chacun. Certains ont réussi à esquiver la chose, d’autres pas. Et malgré les études défavorables, on continue encore et toujours à « recommander » les injections.

Le vaccin à ARNm-LNP a fait l’objet d’une attention particulière pendant la pandémie de COVID-19, car il a servi de base aux vaccins contre le SRAS-CoV-2 les plus largement utilisés dans les pays occidentaux. Sur la base des premières données d’essais cliniques, ces vaccins ont été jugés sûrs et efficaces pour tous les groupes démographiques. Cependant, les données les plus récentes soulèvent de sérieuses inquiétudes quant à la sécurité et à l’efficacité de ces vaccins. Nous passons ici en revue certaines des préoccupations en matière de sécurité et d’efficacité identifiées à ce jour. Nous discutons également du mécanisme potentiel des effets indésirables observés liés à l’utilisation de ces vaccins et de la possibilité de les atténuer en modifiant cette approche du mécanisme vaccinal. https://www.frontiersin.org/journals/immunology/articles/10.3389/fimmu.2024.1336906/full

Pourquoi cet intérêt pour la santé publique? Parce que la nanotechnologie est un des 4 piliers du NBIC qui sont des technologies convergentes indispensables pour faire muter le public en transhumains dans un premier temps et en cyborgs (posthumains) dans un 2ème.

Vous trouverez nos premiers articles de 2015 sur le sujet répertoriés dans Transhumanisme (DOSSIER). Une autre série d’articles figure dans cet autre dossier Apocalypse 4.0 (Transhumanisme)

NBIC, Technologies convergentes

Planète finance veut booster les performances de leurs sujets

Les recherches nous ont montré que cela faisait des décennies que les élites financent les technosciences qui peuvent permettre la fusion de l’humain avec la machine grâce aux NBIC. Et pourquoi faut-il les fusionner?

Pour améliorer les performances à la fois des humains et celle des machines. Une obsession.

C’est important de comprendre que la supra-élite considère les populations comme autant de ressources mises à leur disposition dont il s’agit de maximiser les résultats tout en minimisant les coûts. C’est exactement ce qu’il se passe dans les entreprises d’une certaine taille depuis les années 1980, suite à la libéralisation sauvage des marchés de la finance internationale sous l’impulsion de Mme Margaret Thatcher et de son partenaire américain le président Reagan. Précisons qu’ils n’en sont pas les auteurs, mais les facilitateurs. Nous avions aussi vu le rôle joué par le président Mitterrand et son équipe.

C’est le « consensus de Paris », et non celui de Washington, qui est avant tout responsable de l’organisation financière mondiale telle que nous la connaissons aujourd’hui, c’est-à-dire centrée sur les économies développées de l’UE et de l’OCDE, et dont les codes libéraux constituent le socle institutionnel de la mobilité des capitaux. https://shs.cairn.info/revue-critique-internationale-2005-3-page-87?lang=fr

C’est donc dans un contexte de financiarisation à outrance qui a permis à l’élite financière de déposséder les Etats de leur monnaie, de leur outil de production (délocalisation massive en direction des pays bénéficiant de main d’oeuvre aux salaires à bas coûts). Des transferts imposants de savoir-faire ont été ainsi dirigés vers l’Europe du Sud, de l’Est, d’Amérique latine, de la Chine, etc.

Dépossédés de leur PIB et gangrénés par des dettes publiques mais privatisées, les Etats ont fini par être dépossédés de leur autonomie à légiférer et à protéger leurs citoyens de prédateurs dépourvus de tout sens moral ou éthique.

Les populations ont été traitées à l’exact image que n’importe quelle autre ressource matérielle. C’est dans un contexte de brutalité et de perversion morales que l’humain a été chosifié, ce qui permit au concept NBIC de devenir un sujet politique. Oui. Les politiques ont donné leur feu vert pour que l’humain soit transhumanisé et par la suite cyborgisé.

Je vais vous le démontrer grâce à un extrait de L’Humanité vampirisée qui met en avant des textes admis par la sphère politique où on a acté la transhumanisation des populations.

Des textes extraordinaires issues de conférences et de rencontres auxquelles les gouvernants politiques étaient associées.

Le NBIC, cautionné par les gouvernants depuis décembre 2001 – L’Humanité vampirisée

En 2001, la conférence Converging Technologies for Improving Human Performance a été organisée par la National Science Foundation*. Elle eut lieu fin novembre 2001, soit quelques semaines après l’épisode du 11 septembre…

*Agence américaine indépendante fondée en 1950, dont la mission est « promouvoir le progrès des sciences ; d’améliorer la santé, la prospérité, et le bien-être nationaux ; et d’assurer la défense nationale » Elle a passé un partenariat avec une fondation privée qui collabore avec les traditionnelles fondations des milliardaires (Rockefeller, Sloan, etc.) Social Science Research Council (SSRC) https://new.nsf.gov/funding/opportunities/national-science-foundation-social-science

Un essai fut rédiger à l’issue de cette rencontre et remis en 2002 au Président américain. Il y était question de la nécessité de faire converger les technologies dans le but d’améliorer les performances humaines ! Quatre disciplines sont depuis sur la sellette ; la nanotechnologie, la biotechnologie, la technologie de l’information et les Sciences cognitives. Soit les fameuses NBIC vues précédemment.

Converging Technologies for Improving Human Performance Juin 2002 Télécharger

Les rédacteurs du rapport décrivent dans cet extrait les enjeux, auxquels nous sommes confrontés à l’heure actuelle, au sein desquels l’OMS, son directeur et ses financeurs occupent une place centrale :

« La convergence de diverses technologies repose sur l’unité matérielle à l’échelle nanométrique et sur l’intégration technologique à partir de cette échelle. Les blocs constitutifs du sujet et qui sont fondamentaux à toutes les sciences proviennent de l’échelle nanométrique.
Des avancées révolutionnaires, au niveau des interfaces entre des domaines scientifiques et technologiques auparavant distincts, sont prêtes à créer des outils de transformation clés pour les technologies NBIC.
Les développements dans les approches systémiques, les mathématiques et le calcul en conjonction avec le NBIC nous permettent pour la première fois de comprendre le monde naturel, la société humaine et la recherche scientifique comme des systèmes hiérarchiques complexes et étroitement liés. À ce stade de l’évolution des réalisations techniques, l’amélioration des performances humaines grâce à l’intégration des technologies devient possible.
Des exemples de bénéfices peuvent inclure l’amélioration de l’efficacité du travail et de l’apprentissage, l’amélioration des capacités sensorielles et cognitives individuelles, des changements révolutionnaires dans les soins de santé, l’amélioration de la créativité individuelle et collective, des techniques de communication très efficaces, y compris l’interaction cerveau à cerveau, le perfectionnement des interfaces homme-machine, y compris l’ingénierie neuromorphique, des environnements durables et « intelligents », y compris la neuro-ergonomie, améliorant les capacités humaines à des fins de défense, atteignant le développement durable à l’aide des outils NBIC et atténuant le déclin physique et cognitif inhérent au vieillissement
. »

Des exemples de bénéfices peuvent inclure l’amélioration de l’efficacité du travail et de l’apprentissage, l’amélioration des capacités sensorielles et cognitives individuelles, des changements révolutionnaires dans les soins de santé, l’amélioration de la créativité individuelle et collective, des techniques de communication très efficaces, y compris l’interaction cerveau à cerveau, le perfectionnement des interfaces homme-machine, y compris l’ingénierie neuromorphique, des environnements durables et « intelligents », y compris la neuro-ergonomie, améliorant les capacités humaines à des fins de défense, atteignant le développement durable à l’aide des outils NBIC et atténuant le déclin physique et cognitif inhérent au vieillissement.

Un autre extrait vante la place du secteur privé, nous comprenons de Planète finance, dans la métamorphose que devrait subir l’humain :

« La recherche sur les technologies convergentes peut donner un aperçu d’une meilleure productivité, d’une performance humaine améliorée et de possibilités d’amélioration du bien-être des individus. Il ne fait aucun doute que le secteur des entreprises devra être un acteur à part entière dans les stratégies visant à promouvoir cette approche. Une meilleure collaboration au sein du gouvernement et entre le gouvernement et le secteur privé serait une entreprise louable. Le destin de notre nation et le leadership que les États-Unis assureront au monde seront influencés par la manière dont nous gérerons les technologies convergentes et l’amélioration des performances humaines.
Les technologies convergentes joueront un rôle clé dans l’économie future. Cela entraînera une hausse du PIB tout en améliorant la santé, la prospérité et la qualité de vie des individus. Une initiative nationale capable d’accélérer la collaboration et l’innovation technologiques convergentes tout en favorisant un meilleur travail inter-agences et le travail du secteur public ou privé mènera à un avenir prospère. Sans une stratégie permettant la collaboration, le développement d’une véritable approche systémique et un modèle interscientifique, le succès futur pourrait être aléatoire. Le destin futur de la nation en tant que leader mondial pourrait être menacé à moins qu’une stratégie coordonnée ne soit poursuivie pour maximiser les opportunités inhérentes aux technologies convergentes.
»

« Les technologies convergentes joueront un rôle clé dans l’économie future. Cela entraînera une hausse du PIB tout en améliorant la santé, la prospérité et la qualité de vie des individus. Une initiative nationale capable d’accélérer la collaboration et l’innovation technologiques convergentes tout en favorisant un meilleur travail inter-agences et le travail du secteur public ou privé mènera à un avenir prospère.« 

Le Conseil de l’Europe commandite le rapport Rathenau: « From Bio to NBIC convergence – From Medical Practice to Daily Life Report »

En 2014 déjà, le Conseil de l’Europe avait commandité un rapport à l’Institut Rathenau pour présenter les défis liés aux NBIC. Nous pouvons y lire que le Comité de bioéthique du Conseil de l’Europe s’interrogeait sur les types de technologies émergentes susceptibles de soulever des questions éthiques et juridiques au regard de la dignité humaine et des droits fondamentaux. Et le rapport d’expliquer la convergence technologique, soit la « convergence NBIC ».
Et le rapport d’expliquer que l’Internet était déjà né d’une convergence entre les Technologies de l’Information (TI) et les technologies de la communication. A la même période, le séquençage du génome humain* a bénéficié lui aussi de convergence technologique, cette fois entre la biologie et les TI (« convergence BI »).

*https://www.rockefeller.edu/news/32087-the-human-genome-is-at-long-last-complete/

De l’autre côté, la biologie a inspiré la communauté des TI, comme l’illustrent par exemple les notions de réseau neuronal, d’intelligence en essaim et d’ordinateur à ADN. Et le rapport de vanter les travaux de Roco et Bainbridge, de la National Science Foundation (NSF), de l’atelier de 2001 « Faire converger les technologies pour améliorer les performances humaines ».

Rapport From Bio to NBIC.indd – Rathenau report Télécharger

Après avoir précisé que la convergence NBIC n’était pas un concept neutre (tout de même !), le rapport introduit la pensée transhumaniste dans la recherche publique. Selon le rapport Rathenau, l’atelier de la NSF proposait d’élargir les objectifs de la recherche scientifique pour passer de la guérison des maladies à l’amélioration des performances physiques et mentales de personnes en bonne santé. Il devait devenir techniquement possible d’améliorer les performances humaines via l’intelligence artificielle (des implants dans le cerveau par exemple) ou la modification du corps humain, et ces améliorations techniques offriraient des moyens de règlement des conflits sociaux, politiques et économiques actuels.

Nous avons relevé dans le rapport un passage très intéressant (Table 3.1) : « Cependant, il y a aussi un changement qualitatif. Une bonne part des nouvelles évolutions convergentes ont lieu à la frontière entre la vie et la vie artificielle, c’est-à-dire entre l’être humain et la machine, où l’on trouve : pensée et pensée artificielle, intelligence et intelligence artificielle. L’essence même de la convergence NBIC est là.
La caractéristique essentielle de la convergence NBIC est qu’elle signe la dissolution progressive de la frontière étroite entre sciences physique et biologique. Traditionnellement, la physique étudiait les systèmes non vivants alors que la biologie se penchait sur les organismes vivants. Elles sont appelées à converger. Ce rapprochement va dans les deux sens, chacun d’eux représentant une mégatendance de la bio-ingénierie que l’on pourrait résumer ainsi : « la biologie devient technologie » et « la technologie devient biologie » (cf. Arthur 2009).
La biologie devient technologie – D’une part, les sciences de la vie, comme les biotechnologies et les sciences cognitives, progressent grâce aux sciences physiques (nanotechnologies et technologies de l’information).
Nous avons déjà vu que ce type de convergence technologique avait créé de nouvelles ambitions autour des processus biologiques et cognitifs, allant jusqu’à l’amélioration de l’humain. L’on peut dire que les avancées des nanotechnologies et des technologies de l’information suscitent le rêve de pouvoir un jour appliquer à des systèmes vivants complexes, tels que les gènes, les cellules, les organes et le cerveau, le même type d’ingénierie que celui qui s’applique actuellement à des systèmes non vivants comme les ouvrages d’art ou les circuits électroniques. À cet égard, la pénétration croissante de la physique dans la biologie semble aller de pair avec la montée d’une approche technologique du vivant. La « technicisation de la biologie » implique et promet par conséquent une forte progression de nouveaux types d’interventions sur les organismes vivants, y compris le corps et le cerveau humain.

La technologie devient biologie – D’autre part, les sciences physiques, comme les sciences des matériaux et les technologies de l’information, progressent grâce aux sciences de la vie (la connaissance des processus biologiques et cognitifs). Du fait de cette tendance à la « biologisation », les technologies sont en passe d’acquérir des propriétés associées aux organismes vivants : autoassemblage, autoréparation, reproduction et comportement intelligent. Il s’agit d’intégrer aux technologies des éléments de systèmes pseudo-vivants. Bedau et al. (2009) parlent ainsi de « technologie vivante ».

Et le rapport de citer les produits biopharmaceutiques, l’ingénierie tissulaire, les cellules souches, la xénotransplantation et les organes artificiels hybrides. Les artefacts inspirés des sciences cognitives et sociales sont par exemple les robots animaloïdes ou humanoïdes, les avatars, les agents logiciels (softbots), les technologies persuasives et les techniques de détection des émotions.

De BIO à la convergence NBIC – Nordmann (2004) commente ainsi le débat éthique soulevé par la convergence NBIC : « Prises isolément, ces diverses technologies suscitaient déjà controverses et anxiété. Leur convergence représente un défi majeur non seulement pour le monde de la recherche, mais aussi, d’emblée, pour les responsables politiques et pour les sociétés européennes ».
Nous finirons ce chapitre en relevant cette petite remarque : « En outre, et peut-être plus important encore, nous souhaitons souligner l’utilisation accrue des technologies médicales et des données biologiques en dehors des cadres professionnels des soins de santé. »
Il semble donc clair que nos dirigeants politiques ont acquiescé depuis longtemps à la migration des données les plus personnelles vers les serveurs privés de la BigTech. Un consensus politique existerait depuis un moment sur le fait de faire muter l’humain en transhumain, phase transitoire qui mène au posthumain.

L’OCDE traite le sujet du transhumanisme

La trilogie peut être commandée en librairie

Elle est facilement disponible aux Editions Yves Michel,

Disponible à la librairie Philadelphie

https://www.philadelphie.com/recherche?controller=search&orderby=position&orderway=desc&search_query=liliane+held&submit_search=

En Suisse, chez Payot.

Et enfin sur le site de l’éditeur Réorganisationdumonde.com

**CYBERBABEL : CyberBabel.org a pour vocation d’alerter le lecteur sur les dangers palpables d’une potentielle éradication de l’humanité telle que nous l’avons toujours connue. Pour ce faire, il s’appuie passablement sur la trilogie publiée ces dernières années.

De quoi parle-t-on? De la fusion entre le vivant et la machine

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