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Le ministre français des Armées confirme la désertion de 55 militaires d’une brigade ukrainienne
Le ministre français des Armées confirme la désertion de 55 militaires d’une brigade ukrainienne
Sputnik Afrique
Il s’agit de la brigade Anne de Kiev, et la désertion aurait eu lieu lors de la formation sur le sol français. 08.01.2025, Sputnik Afrique
2025-01-08T15:32+0100
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L’état-major ukrainien « est le principal accusé de ce scandale », estime Ulysse Gosset, éditorialiste politique internationale de BFMTV.Il lui est reproché d’envoyer sur le front « des soldats qui n’étaient pas vraiment préparés provoquant des morts inutiles, des désertions, des abandons de poste ».Le journaliste ukrainien Iouri Boutoussov avance, quant à lui, le chiffre de 1.700 déserteurs au sein de cette brigade, dont 50 pendant leur formation en France.Le commandement militaire ukrainien a mené cette formation dans un « chaos organisationnel complet », a-t-il écrit dans un post.Les restes de cette unité ont été envoyés dans un secteur chaud du front, selon lui. La brigade n’a en outre pas été équipée en drones ni en équipement de brouillage électronique.
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Il s’agit de la brigade Anne de Kiev, et la désertion aurait eu lieu lors de la formation sur le sol français.
« 55 désertions [ont eu lieu] lorsque la demi-brigade était en formation sur le territoire national », a déclaré Sébastien Lecornu sur Europe 1.
L’état-major ukrainien « est le principal accusé de ce scandale », estime Ulysse Gosset, éditorialiste politique internationale de BFMTV.
Il lui est reproché d’envoyer sur le front « des soldats qui n’étaient pas vraiment préparés provoquant des morts inutiles, des désertions, des abandons de poste ».
Le journaliste ukrainien Iouri Boutoussov avance, quant à lui, le chiffre de 1.700 déserteurs au sein de cette brigade, dont 50 pendant leur formation en France.
Le commandement militaire ukrainien a mené cette formation dans un « chaos organisationnel complet », a-t-il écrit dans un post.
Les restes de cette unité ont été envoyés dans un secteur chaud du front, selon lui. La brigade n’a en outre pas été équipée en drones ni en équipement de brouillage électronique.