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10 605,00 € de l’objectif de 25 000,00 € atteint
par Patrice Gibertie
«À la lumière de la démission de Justin Trudeau, revenons sur 2017, lorsque Klaus Schwab, l’architecte des ambitions mondialistes du Forum économique mondial, s’est ouvertement vanté d’avoir «infiltré» le gouvernement canadien. Schwab a fièrement déclaré que Trudeau et la moitié de son cabinet étaient des diplômés du programme Young Global Leaders du Forum économique mondial, une déclaration qui a consolidé le statut de Trudeau comme prodige mondialiste par excellence. Pendant des années, le règne de Trudeau a servi de modèle parfait pour une gouvernance soutenue par le Forum économique mondial : frontières ouvertes, taxation implacable du carbone, alignement inébranlable sur les guerres par procuration de l’OTAN et déférence envers les oligarques des grandes entreprises au détriment des Canadiens ordinaires.
Mais ce qui a été présenté comme un «progrès» a laissé le Canada fracturé, un secteur énergétique vidé de sa substance, des prix de l’immobilier en flèche et la souveraineté du pays systématiquement érodée par des politiques dictées par les conseils d’administration de Davos, et non par Ottawa.
La chute de Trudeau ne marque pas seulement la fin d’une carrière politique, mais aussi l’échec d’une expérience mondialiste soigneusement orchestrée. L’aveu de Schwab n’était pas seulement une vantardise, c’était un avertissement.
Le Canada n’était pas dirigé par des Canadiens, mais par une chambre d’écho de Davos qui utilisait Trudeau comme un mannequin raffiné pour vendre la vision d’une nation sans frontières, endettée et obéissante. Alors que le prodige mondialiste quitte la scène, le projet du Forum économique mondial (FEM) est confronté à des fissures. La démission de Trudeau constitue un coup dur pour la machine qui cherche à gouverner par l’intermédiaire de technocrates non élus et de la complicité des médias.
Le Canada a maintenant le choix : reconquérir sa souveraineté ou rester un pion dans le jeu d’échecs en voie d’effondrement du FEM».
source : Patrice Gibertie