Il faut être sacrément naïf pour croire que le revirement spectaculaire de Mark Zuckerberg est dû à son amour de la démocratie et de la liberté d’expression, en résumé, du 1er amendement. Non. Si Zuckerberg vire complètement de bord c’est à cause de menaces très sérieuses de Donald Trump. Il a certainement dû lui promettre d’aller faire un tour en prison suite à son comportement détestable et criminel pendant la crise sanitaire.
Les déclarations que vous pourrez écouter dans la vidéo ci-dessous sont d’une extrême gravité. Mark Zuckerberg va jusqu’à affirmer que les critiques de certaines personnes étaient légitimes. Elles ont pourtant été censurées ! Sauf que les conséquences de cette censure sont graves dans le monde réel. Elles ont causé des dégâts irréversibles sur certaines victimes des effets indésirables parfois mortels. Il va donc falloir répondre devant la justice de cette responsabilité.
Ce qui est par contre très intéressant c’est de suivre le comportement futur des fact checkers et autres zététiciens imbéciles et complices de la censure qui ont perdu un allié de poids. Vont-ils accuser le patron de Meta de « complotisme », « d’antivax », de « trumpisme d’extrême droite »… ? Ils attendent quoi exactement pour fermer leurs comptes Instagram, leur application WhatsApp et bien entendu Facebook afin de boycotter ce vilain monsieur ?