L’eau potable en France est massivement contaminée par les « polluants éternels » !


C’est un scandale sanitaire d’une extrême gravité puisqu’il est question de dizaines de millions de Français. Ces derniers consomment quotidiennement une eau polluée cancérigène. Comment pouvez-vous ensuite affirmer que le gouvernement ou les autorités sanitaires en général veulent le bien des Français ? Comment expliquer ensuite leur volonté de dépenser des centaines de millions d’euros pour un vaccin foireux et refuser de traiter cette question vitale de la pollution de l’eau potable ! Tout ceci n’a aucun sens lorsque le raisonnement se plie à la Doxa.

Lorsque l’on s’intéresse à ce type de scandales on apprend que le gouvernement est au courant depuis des décennies et que souvent les autorités tentent de cacher l’esclandre. Tous les lanceurs d’alerte seront punis sévèrement. Des journalistes seront envoyés pour minimiser la gravité des faits et ainsi de suite… C’est une routine que l’on a pu observer pour différents scandales comme l’amiante, le Mediator…


En France, la contamination de l’eau potable par les « polluants éternels » (PFAS, pour substances per- et polyfluoroalkylées) atteint des niveaux insoupçonnés.

Deux campagnes de mesures, rendues publiques jeudi 23 janvier, et conduites séparément par l’association de consommateurs UFC-Que choisir et l’ONG environnementale Générations futures d’une part, et par le laboratoire d’analyse Eurofins d’autre part, suggèrent que la quasi-totalité des Français sont exposés à ces substances toxiques par le biais de l’eau de boisson, et dans la grande majorité des cas à des taux excédant le seuil théorique de qualité.

Dans les deux enquêtes, l’acide trifluoroacétique (TFA) présente les concentrations les plus élevées en plus d’être ubiquitaire, une caractéristique due à la chaîne ultracourte de carbone-fluor qui le constitue et fait de lui le plus petit des PFAS. Le TFA présente des indices de toxicité pour le foie ; l’Allemagne a proposé son classement comme toxique pour la reproduction et une demande…

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Photo d’illustration : À Paris, en 2020.

 et 

Le Monde

23 & 24 janvier 2025



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