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par Paul Derogis
Le président américain Donald Trump a signé jeudi un décret prévoyant des sanctions contre la Cour pénale internationale (CPI).
Le texte interdit l’entrée aux États-Unis aux dirigeants, employés et agents de la CPI ainsi qu’aux plus proches membres de leurs familles et à quiconque considéré comme ayant apporté son aide aux travaux d’enquête de la CPI. Le décret prévoit aussi de geler tous les avoirs détenus aux États-Unis par ces mêmes personnes.
Immédiatement, les valets de l’impératrice von der Leyen ont réagi en dénonçant le décret américain le considérant comme une «menace pour l’indépendance de l’institution judiciaire internationale».
Les Pays-Bas, qui abritent la Cour pénale internationale, ont fait part de leurs «regrets» après l’annonce du décret mais n’ont pas été plus loin dans leurs «regrets» craignant sans doute la colère incontrôlable du président américain qui ne s’embarras guère de fioritures diplomatiques.
Un bémol à cette décision trumpienne que nous saluons : la joie de Benjamin Netanyahou que la CPI avait inculpé de crimes contre l’humanité contre les Gazaouis.
Le ministre israélien des Affaires étrangères a «félicité» ce vendredi le président américain, Donald Trump, pour les sanctions imposées à la Cour pénale internationale (CPI), dont il a qualifié les actions «d’immorales» et illégitimes.
Quant à nous, nous pensons que toutes ces organisations internationales relèvent de l’immixtion dans des affaires internes et contreviennent à la souveraineté des peuples et nous ne pouvons que nous réjouir des sanctions prises par Trump contre la CPI.
source : Médias-Presse-Info