« French Cimetiera » à Gaza : France Info TV réalise une émission d’une violence inouïe et d’une rare inhumanité !


La chaîne publique France info TV réalise une émission concernant les propos de Donald Trump qui veut transformer Gaza en French Riviera. Alors que la Maison-Blanche a rétro pédalé après le tollé international de cette déclaration d’une grande stupidité, France Info TV a pris cela très au sérieux. Du coup ils ont invité le patron de l’industrie touristique – UMIH – Franck Delvau qui a multiplié les déclarations les plus abjectes. Alors que ce dégénéré ne sait même pas prononcer correctement le mot aéroport puisqu’il a dit « aréoport ». Il a quand même affirmé qu’il fallait beaucoup de boulot pour transformer Gaza en petit paradis en utilisant le pronom « on » comme si c’était lui qui allait reconstruire. Nous avons assisté ces 15 derniers mois à un nombre incalculable de crimes de guerre et de massacres et lui pense au business touristique ! Comment est-il possible d’être si peu humain ?

Insultes graves et déshumanisantes

C’est loin d’être fini. Faut-il rappeler que cette émission a été préparée par toute une équipe de rédaction et qu’elle a été validée. Pendant ce long moment de folie, un journaliste – Michel Mompontet – ira jusqu’à comparer le Hamas et le Hezbollah aux punaises de lit ! En d’autres termes, les Gazaouis et les Libanais sont des nuisibles, ils ne sont pas très bons pour le business et pour le tourisme. Des propos d’une extrême violence, il n’y a que le paradigme colonialiste qui puisse permettre de telles dérives.

De son côté, Dominique de Villepin n’a pas hésité à affirmer que « L’idée de transformer Gaza en French Riviera c’est véritablement la logique néo coloniale. Imaginez le Président Poutine tenir ce langage-là, que dirait-on ? » Tout le monde a compris que militairement c’était impossible. Tout le monde a compris que moralement c’était une monstruosité. La Maison-Blanche a reculé. Le monde entier a vu la violence et la barbarie de l’entité sioniste et de son soutien américain. Mais les journalistes parisiens ont estimé que c’était un sujet sérieux qu’il fallait développer.



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