La question palestinienne nous éclaire sur la morale et la politique


La semaine dernière, Thierry Meyssan avait défendu une position complexe sur la question palestinienne. Il déclarait que, d’un point de vue français et en pensant à la justice, il défendait le droit au retour des Palestiniens, mais que d’un point de vue palestinien et en pensant au sort de la population, il préconisait d’abandonner la Palestine et d’accepter le plan Trump.

Certains auditeurs l’ont alors qualifié « d’agent des sionistes », sans se rendre compte que c’est la position que Yasser Arafat avait défendu.

D’un côté, il avait inscrit,dans la charte de l’OLP, la création d’un État unique pour les Palestiniens et les Israéliens avec le principe « un homme une voix ». D’un autre, il avait organisé le transfert des Palestiniens d’abord en Jordanie (“septembre noir”), puis au Liban (la guerre civile).

Thierry Meyssan revient sur ces apparentes contradictions pour expliquer sa conception de la morale et de la politique.





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