Il réintègre l’unité qu’il a accompagnée depuis les premiers jours de l’opération militaire spéciale. Il était avec elle dans l’ardeur des combats à Marioupol avant d’être grièvement blessé.
Sur le front, plusieurs soldats ont eu envie de recevoir le baptême, raconte le Père Sergueï à Sputnik. Il a alors exécuté leur demande dans les tranchées mêmes.
« En temps de guerre, tout le monde a peur, et ce n’est pas un sentiment honteux, c’est le sentiment qui aide à survivre, à se préserver et à accomplir sa mission. Il est très important que le militaire ait une sorte de noyau interne à ce moment-là », explique-t-il.