Un coup de quoi qu’il en coûte qui fera de la dette pour le peuple allemand, et des intérêts pour les gros prêteurs, c’est-à-dire la Banque, ou les superpuissances financières. Ce sont elles qui misent sur la guerre, et pour cela agitent leurs marionnettes qui nous servent de dirigeants. Vendus, escrocs, corrompus, menteurs, voleurs, assassins en puissance, tous ces qualificatifs s’appliquent à ces ennemis du genre humain.
Laurent Ozon a bien résumé la manip pour le populo :
De la même façon, précisément depuis la révolution iranienne (1979), les États-Unis ont fait chanter l’Arabie saoudite en grossissant le danger iranien avec le risque d’une révolution islamiste (chiite) contre la royauté, afin de récupérer les pétrodollars des princes en leur refourguant de l’armement de deuxième catégorie. La peur a servi de racket. L’Arabie, aujourd’hui surarmée, n’a même pas pu gagner une guerre de dix ans contre des Yéménites en sandales et kalachs. Avec, il est vrai, quelques armements refilés par les Russes, les Chinois et les Iraniens.
Aujourd’hui, en Europe, la psychose du Russe est entretenue par le combo politico-médiatique pour braquer le trésor national, c’est-à-dire l’épargne des Français, qui s’élève à 14 000 milliards.
Le nouveau virus qui devait faire en 2020 une explosion des morts chez nous en fera moins que cette année, 69 000 au compteur. C’était donc bien une psychose sur du vent. Comme plus personne ne va se faire piquer pour choper des ESG, des effets secondaires graves, alors le pouvoir change de disque et nous envoie le Russe. Le Russe sanguinaire qui veut envahir la France, comme chacun sait. Sauf Makogonov, qui croit encore en l’amitié (franco-russe).
Dernière minute : extrait de l’allocution d’El Dingo (France Info)
« La menace russe est là. (…) La Russie est devenue une menace pour la France et pour l’Europe », a notamment déclaré le chef de l’État, condamnant « l’agressivité » de Moscou. Face à cette menace, « nous aurons à faire de nouveaux choix budgétaires et des investissements supplémentaires », a poursuivi Emmanuel Macron, et ce « sans que les impôts ne soient augmentés ».