Trump cherche à imposer sa paix en Ukraine tandis que l’Europe poursuit sa guerre contre la Russie, par Alfredo Jalife-Rahme



Le général à la retraite Keith Kellogg (80 ans), envoyé spécial états-unien en Ukraine, a déclaré lors d’une conférence devant le Conseil des relations extérieures (CFR), inféodé aux mondialistes du Parti démocrate, que « Trump prévoit de réinitialiser les relations avec la Russie et de se retirer de la guerre sans fin en Ukraine ».

Kellogg a ajouté que l’isolement continu de la Russie n’est plus une stratégie viable ou durable et n’est certainement pas l’approche responsable du point de vue diplomatique [1]

Trump maintient l’esprit de Riyad d’un G-2 avec la Russie – auquel s’ajoutera la Chine pour clôturer la nouvelle entité tripolaire – ce qui a plongé l’Europe dans un état de choc, selon le New York Times, porte-parole des perdants George Soros / Clinton / Obama / Biden [2] Le magnat a déclaré qu’il lui avait été plus difficile de négocier avec l’Ukraine [3] qui n’avait pas de cartes à jouer, pour obtenir un règlement final, et qu’il avait donc été « plus facile de s’arranger avec la Russie, car elle détient tous les atouts ».

Le portail Politico, subventionné par l’USAID pendant la phase de guerre du Parti démocrate, affirme que Trump souhaite marginaliser l’Union européenne, de sorte que l’ancien bloc allié, aujourd’hui en rébellion publique, doive se battre pour prouver son importance sans le soutien des États-Unis [4]. Dans une étrange déclaration, conçue, à mon avis, pour semer la confusion, Trump menaçait de frapper durement la Russie (mégasic !) en raison de la récente offensive vigoureuse de Moscou contre le régime ukrainien défaillant [5] – en particulier sur le territoire russe envahi de la Crimée, où l’armée ukrainienne est totalement encerclée par ses 10 000 soldats envahisseurs [6].

Il y a deux possibilités : 1) Trump se protège rhétoriquement après la raclée infligée à Zelensky en Crimée ; ou 2) il commence à tracer ses propres lignes rouges face à l’avancée accélérée de la Russie dans le reste du territoire ukrainien.

ZeroHedge expose que « l’Europe dévoile son plan de paix rival (mégasic !) (note : de celui des États-Unis) soutenu par des soldats et des avions dans les airs » [7]

Outre le fait que le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov se soit moqué de la maladie mentale du président français Macron, à qui il a rappelé les défaites de Napoléon et d’Hitler face à Moscou [8], Bloomberg, adepte du groupe mondialiste belliciste, démontre l’impossibilité de partir en guerre, pour l’Europe, sans le soutien des États-Unis.

Moscou a réagi durement à la rhétorique nucléaire de Macron, qu’il a qualifiée de chantage nucléaire, alors que les 290 ogives de la France sont impuissantes face à l’arsenal massif russe de 6 000 ogives [9].

Le New York Post, très proche de Trump, affirme que le mieux pour Zelensky sera de se réfugier en France [10], où, curieusement, le père du gendre khazar de Trump (Jared Kushner), l’homme d’affaires immobilier controversé Charles Kushner – anciennement condamné à deux ans de prison – a été nommé ambassadeur des États-Unis à Paris. On ignore si le gouvernement français a accepté le cadeau empoisonné de son accréditation.

Dans cette conjoncture délicate, presque terminale, la propriété conjointe de la société offshore Maltex Multicapital Corp., de Zelensky et de son mentor Igor Kolomoisky, Israélo-chypriote et ancien oligarque ukrainien, aujourd’hui transfuge à Tel Aviv, a été exhumée [11] . La puante société offshore, basée dans le paradis fiscal des îles Vierges britanniques [12], avait été révélée dans Pandora Papers [13].

Zelensky a été accusé d’avoir acquis, par l’intermédiaire de sa société offshore, la banque française Milleis Banque Privée, qui appartiendrait aux célèbres banquiers Rothschild, dont les partisans ont démenti cette information. La guerre comme le plus grand des marchés financiers !



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