
Le 15 mars, Sir Keir Starmer a accueilli un sommet virtuel de 26 pays qui pourraient former une coalition de soutien à l’Ukraine. Il semble que la stratégie du Premier ministre commence à prendre forme.
• (1) Il a appelé à une « pression maximale » sur la Russie pour « affaiblir la machine de guerre de Poutine ».
• (2) Il fait pression sur la Russie afin qu’elle accepte l’accord de cessez-le-feu présenté par les États-Unis. Il critique la Russie pour avoir utilisé des tactiques dilatoires et demande à Moscou de démontrer qu’il est sérieux au sujet de la paix.
• (3) Enfin, il constitue une coalition des pays désireux d’assurer une paix durable si un accord peut être conclu. Déjà 30 États la composeraient.
Par ailleurs, Sir Keir Starmer a convoqué une réunion des chefs militaires d’une trentaine de partenaires de Kiev, le 20 mars à Londres, afin de préciser la manière dont ils pourraient engager des troupes de maintien de la paix en Ukraine.
☞ Les réunions de chefs d’états-majors à Paris (11 mars) et à Londres (20 mars) sur l’Ukraine ne sont en réalité que des prétextes pour préparer les candidatures de la France et du Royaume-Uni pour remplacer les États-Unis à la direction de l’OTAN.
Cet article est extrait du numéro 125 de « Voltaire, actualité internationale ». Le monde change vite. Abonnez-vous à notre lettre confidentielle hebdomadaire ; une source exceptionnelle d’information sur la transition vers un monde multipolaire.
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