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Niger: les autorités expliquent la révocation de trois patrons chinois d’entreprises pétrolières
Niger: les autorités expliquent la révocation de trois patrons chinois d’entreprises pétrolières
Sputnik Afrique
C’est le non-respect des textes en vigueur qui a débouché sur l’expulsion des chefs de la CNPC, Soraz et Wapco, ainsi que la fermeture de l’hôtel Soluxe, selon… 19.03.2025, Sputnik Afrique
2025-03-19T19:39+0100
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Il a reproché aux entreprises concernées leur refus de donner la priorité à des services locaux et d’appliquer une échelle salariale équitable aux travailleurs nigériens. Le responsable a souligné que la décision n’avait pas été prise à l’improviste, mais après « plusieurs tentatives pour recalibrer le partenariat ». Quant au retrait de la licence d’exploitation à la société Soluxe International, un « examen approfondi » de la gestion a été réalisé, a expliqué Mme Soufiane Agachata Guichene. Ce bilan a mis en lumière plusieurs « manquements répétés », notamment la mise à l’écart des sociétés de voyage au profit des compagnies chinoises et la cession d’une partie de terrains sans accord des autorités.
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C’est le non-respect des textes en vigueur qui a débouché sur l’expulsion des chefs de la CNPC, Soraz et Wapco, ainsi que la fermeture de l’hôtel Soluxe, selon le ministre du Pétrole et son homologue chargée de l’Artisanat et du tourisme.
« Il n’y a ni acharnement ni animosité contre nos partenaires chinois », a assuré Sahabi Oumarou en insistant sur le fait que le respect des lois prime sur tout.
Il a reproché aux entreprises concernées leur refus de donner la priorité à des services locaux et d’appliquer une échelle salariale équitable aux travailleurs nigériens.
Le responsable a souligné que la décision n’avait pas été prise à l’improviste, mais après « plusieurs tentatives pour recalibrer le partenariat ».
Quant au retrait de la licence d’exploitation à la société Soluxe International, un « examen approfondi » de la gestion a été réalisé, a expliqué Mme Soufiane Agachata Guichene.
Ce bilan a mis en lumière plusieurs « manquements répétés », notamment la mise à l’écart des sociétés de voyage au profit des compagnies chinoises et la cession d’une partie de terrains sans accord des autorités.