L’administration Trump remettrait en question la nécessité d’une présence militaire en Afrique


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La nouvelle administration américaine s’interroge sur le futur du Commandement des États-Unis pour l’Afrique (AFRICOM) alors que son chef, le général Michael Langley doit être auditionné devant une commission sénatoriale, rapporte le portail The Africa Report.

Le commandement américain pour l’Afrique (AFRICOM) se trouve dans une position difficile alors que Donald Trump s’interroge sur la présence militaire sur le continent, indique le portail The Africa Report.

« Le chef de l’AFRICOM, le général Michael Langley, devrait témoigner devant la commission des forces armées du Sénat le jeudi 3 avril, première d’une série d’auditions au cours des prochaines semaines devant les organismes de surveillance de la défense et les agences de dépenses de défense », note le portail.

Le 18 mars, NBC News avait rapporté que l’administration Trump envisageait de fusionner l’AFRICOM avec le commandement américain en Europe pour réduire les dépenses.





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