Par Alexandre MOREAU pour Collège Antithétique

Madame Bénédicte de Perthuis, Président du Tribunal Correctionnel de Paris, commandite des faits de menaces, chantages, kidnappings, séquestrations, interdictions de participer à une élection présidentielle et de syntonie magnétique physique avec un implant extra-cutané ou dit « bracelet électronique », à l’endroit de Madame Marine Le Pen, citoyenne française et ancien candidat à l’élection présidentielle française, ainsi qu’à l’endroit de vingt-six autres victimes elles-mêmes citoyennes françaises, dont Monsieur Nicolas Bay et des membres du parti politique français dit « Rassemblement National », en totale violation de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789.
Quel est le mobile de ces crimes ?
Certains arguent qu’il s’agirait là d’une commande publique et d’une condamnation politique, d’une instrumentalisation politique du Droit et de la Justice Française, dans le but de censurer et d’éliminer toutes alternatives gouvernementales au « parti unique » entre guillemets qui gouverne plus ou moins en France sous de multiples marques, depuis la fin de la présidence de Jacques Chirac en l’an deux mil sept.
Certains arguent les spécieux particularismes du Tribunal de Paris en France, pour expliquer que ces particularismes permettraient une telle corruption de la loi. Dans une multitude d’affaires ce Tribunal de Paris en France est purement et simplement complice de criminels et de délinquants, mais aussi littéralement de purs terroristes. Pour preuve de cette réalité, la revue de presse « fdesouche » constitue une bonne récension de ces cas de complicités terroristes ou criminels de ce Tribunal de Paris. Dans le marécage qu’est ce Tribunal de Paris certains arguent ainsi que cette spécificité est instrumentalisée pour abolir la Démocratie en éliminant toutes les oppositions politiques.
Certains arguent qu’il s’agirait là d’une volonté de l’Exécutif Français, de « l’Etat profond » entre guillemets, d’une classe de journalistes de plateaux de télévision, de fonctionnaires, de politiciens et de miliciens mercenaires policiers, pour éliminer la concurrence politique, pour abolir jusqu’au semblant de démocratie qui existe en France.
Tout cela n’est pas faux, mais pour autant je veux vous partager mon observation que ce n’est pas là le véritable mobile de ces crimes.
Quels reproches à Marine Le Pen et aux vingt-six autres victimes ?
Il leur est reproché d’avoir pris de l’argent provenant légalement de leurs partis politiques européens à Bruxelles en Belgique et de l’avoir transféré sur les comptes bancaires de leurs partis politiques français en France et ceci pour financer leurs activités citoyennes et politiques en France comme en Belgique.
Voilà, c’est tout, rien d’autre.
C’est un petit peu comme si vous ou moi nous avions un compte bancaire à Bruxelles pour y percevoir la rémunération d’un travail réalisé à Bruxelles et un autre compte bancaire en France pour y percevoir la rémunération d’un autre travail réalisé à Paris, alors qu’un juge fou viendrait nous criminaliser et nous imposer de souffrir ses crimes sous les effets des armes de milices privées déguisées en policiers, au motif que pour pouvoir faire nos courses à Paris, nous aurions fait un virement bancaire depuis notre compte bancaire à Bruxelles, vers notre compte bancaire à Paris et sans préalablement avoir demandé l’autorisation de notre maîtresse d’école du temps ou nous avions huit ans !
Voilà, ce serait exactement la même chose.
Dans ce domaine cela nous concerne tous, car ces bureaucrates nous traitent et ils traitent tous les citoyens au quotidien comme ils se traitent entre eux, alors que paradoxalement Madame Marine Le Pen appartient pleinement avec son parti politique, à cette même bureaucratie.
De fait il n’y a aucun motif en Droit à ces condamnations et c’est cette totale absence de motif qui induit les accusations d’une commande politique contre Marine Le Pen et contre les électeurs du dit « Rassemblement National », donc contre la citoyenneté et les droits civiques de tous. Les ennemis politiques de la Démocratie et l’extrême droite au pouvoir, revendiqueraient maintenant leur fascisme pour condamner par le pur arbitraire des tribunaux, quiconque sans plus aucune référence au Droit ou à la loi et toujours en totale violation des Droits de l’Homme.
Ces accusations ne sont pas totalement fausses, mais la réalité me semble différente.
Si Marine Le Pen et ces vingt-six autres victimes furent illégalement condamnées, ce n’est pas parce qu’il y a une commande politique contre eux, car une commande politique n’est jamais vraiment en France un élément suffisant pour influencer la justice française, mais s’il y a cette illégale condamnation, c’est parce que les juges, les procureurs et les magistrats du Tribunal de Paris, par effet Barnum, effet Milgram, pression de conformité, pression médiatique, effet de corps social d’appartenance, effet de caste, effet corporatiste, effet de clan et effet mimétique, souffrent d’une totale abolition de leur discernement.
Nous sommes là en présence d’une génération de Juges, de Procureurs, de Magistrats, mais aussi d’Avocats et d’assureurs (protections juridiques etc.), qui sont sans en avoir conscience devenus les agents administratifs de la lettre, de la lettre, de la lettre de la loi, sans plus aucune considération ni même plus aucune capacité intellectuelle ou mentale à pouvoir considérer l’esprit de la loi.
Cela est une déficience mentale.
La lettre et l’esprit de la loi ?
La lettre de la loi, c’est ce qui est écrit dans la loi. L’esprit de la loi, c’est l’intention du législateur au moment du vote de la loi, le législateur étant en France le Parlement, à savoir l’Assemblée Nationale et le Sénat de Paris en France.
La loi dit une chose et il faut l’appliquer, l’esprit de la loi, c’est la raison de l’existence de cette loi, pourquoi cette loi fut édictée, dans quel but.
Aussi, en Droit, le Procureur, le Juge, le Magistrat, l’Avocat, doivent statuer selon la lettre de la loi, mais aussi selon son esprit et toute considération de la lettre de la loi indépendamment de son esprit est singulièrement illégale, car erronée en humanité, fasciste, totalitaire, donc antagoniste de l’existence même du Droit ou même des Droits de l’Homme.
Le but du Tribunal est du poursuivre le but à atteindre par la loi et jamais d’appliquer la lettre de la loi, voilà ce qu’est l’esprit de la loi.
Est-ce que l’application de la loi répond au but visé par le législateur lorsqu’il votait la loi ? C’est par cette question que le Tribunal intègre l’esprit de la loi dans sa décision.
Est-ce que le but du législateur au moment du vote de la loi, fut de faire pratiquer le crime par le Tribunal contre le citoyen Marine Le Pen, contre vingt-six autres citoyens et contre tous les électeurs ou libres penseurs, au motif d’un transfert de fonds bancaires qui n’a causé aucune victime et qui n’a induit aucun vol pour personne ?
Un exemple pour illustrer la lettre et l’esprit de la loi
Par exemple, la loi dit qu’il est interdit de circuler dans un véhicule à moteur à plus de 30km/h dans la ville de Paris en République Française. Ceci est la lettre de la loi ou dans cet exemple la lettre du « Code de la Route » et il convient d’appliquer cette loi temporelle, car c’est la loi, « Dura Lex Sed Lex », ce qui en latin signifie « La loi est dure, mais c’est la loi ».
Maintenant, imaginez que vous fassiez un excès de vitesse et que vous rouliez à 60km/h dans un véhicule à moteur, de nuit, sur un boulevard de la ville de Paris en France, au motif de fuir en urgence des émeutes et des incendies criminels organisés par des dits « antifascistes », qui sont en réalité les milices fascistes complices du gouvernement ainsi que de leurs médias télévisés et qui dénoncent votre citoyenneté et votre humanité par ces actes criminels contre vous.
Alors, le Juge lèvera naturellement l’amende routière que les milices du gouvernement déguisées en policiers pourraient vous demander de payer et bien que vous ayez violé la loi au regard de sa lettre, vous auriez alors été dans votre bon droit à ne pas respecter cette loi à la lettre à ce moment là, car l’intention du législateur en édictant le « Code la Route », ne fut jamais de rendre le Tribunal complice de miliciens fascistes protégés ou commandités par un quelconque gouvernement.
Un Juge qui dans pareil exemple condamnerait au paiement de l’amende pour excès de vitesse, se rendrait coupable de complicité et / ou serait dans sa pratique, un malade mental par incapacité cognitive à dissocier la lettre de l’esprit de la loi, alors que sa victime serait à l’endroit de ce Juge en état de légitime défense.
Là est la loi, par l’articulation entre sa lettre et son esprit, le Juge rendant sa décision pour viser l’application du but de la loi, mais jamais l’application du seul logiciel de la loi.
L’abus de droit
La notion d’abus de droit est très bien connue des Juges et des Procureurs français, car l’administration fiscale française use et abuse de cette notion contre les contribuables justiciables. Un résident fiscal en France peut ainsi être condamné à un redressement fiscal, même lorsqu’il respecte toutes les lois fiscales et ceci au motif de l’abus de droit.
L’administration fiscale et les Juges administratifs ont ainsi tendance à considérer que toute tentative de l’Homme de payer moins d’impôt, y compris légalement dans le respect des lois, par des organisations commerciales, associatives, familiales, matérielles, patrimoniales ou des expatriations, constitue un abus de droit passible de redressement fiscal.
Dans les faits il s’agit d’une habitude du Tribunal à pratiquer l’abus de droit dans l’usage judiciaire de l’abus de droit, pour entériner des complicités d’expropriations, d’extorsions de fonds, de rackets et de vols commis par l’administration fiscale française ou des réseaux de corruption passive avec cette administration, contre des résidents fiscaux en France.
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Pour le Judiciaire français, seule l’administration fiscale française peut être légalement victime d’un abus de droit, les autres plaignants sur le fondement de l’abus de droit étant déboutés ou persécutés par les Juges lorsqu’ils revendiquent être les victimes d’un abus de droit.
Pour la preuve de cette réalité je ne communique aucune source, puisqu’il suffit d’interroger le moindre avocat fiscaliste français pour avoir confirmation de l’état de fait de ce Tribunal au regard de cet abus de droit.
La pratique judiciaire de l’abus de droit est ainsi en France systématiquement dissymétrique à l’exclusif bénéfice de l’Etat et de ses représentants.
Dans le cas de Marine Le Pen et des vingt-six autres victimes, il ne s’agit pas d’une affaire fiscale et c’est une chose inédite que l’abus de droit soit revendiqué par un honnête citoyen contre la dérive totalitaire de Juges et de polices fascistes. Ces citoyens sont persécutés par les Juges, pareillement à ce qui est le cas dans les affaires fiscales, parce que ces juges administratifs revendiquent pour l’Etat le monopole du préjudice de l’abus de droit et parce que ces Juges dans leurs pratiques sont devenus mentalement incapables de concevoir que le gouvernement ou l’administration d’Etat pourraient ne pas être les seules victimes potentielles d’un abus de droit.
Une abolition du Droit par pression de conformité
Nous souffrons d’une totale abolition de la prise en compte de l’esprit de la loi en France aujourd’hui et les Juges sont devenus fous.
On dit qu’ils seraient marxistes, que ces juges seraient marxistes, c’est faux, ils ne le sont pas, c’est bien pire que cela, ils sont complètement « cons » entre guillemets, il s’agit de « crétins » entre guillemets, de gens qui sont authentiquement malades. Ils croient sincèrement faire le bien et ils croient sincèrement dire la loi lorsqu’ils pratiquent au nom du droit administratif et de la lettre, de la lettre, de la lettre du droit administratif, ainsi que de l’illégale lettre du droit administratif de l’union européenne, en antagonisme avec la lettre du droit administratif de l’illégale commission européenne, en antagonisme avec la lettre du droit administratif de la banque centrale européenne, ainsi qu’en antagonisme avec la lettre, de la lettre, de la lettre du droit administratif autochtone de la République Française, le crime à l’endroit d’honnêtes Hommes et de respectables citoyens.
Extrait du dessin animé Astérix et Obélix « La maison qui rend fou »
Ces Juges ne se contentent plus d’appliquer la lettre de la loi, tels des « robots-biologiques », ils en sont maintenant à appliquer en France la lettre de la lettre de la lettre de la loi extraterritoriale de Bruxelles en Belgique, lors de débats de fous entre fous à lier, dans des maisons judiciaires de fous maquillées en tribunaux de joie et ces fous sont ainsi parvenus croyant bien faire, à totalement abolir le droit ou le devoir de légitime défense, à restaurer la torture dans des camps publics lorsqu’ils adressent des bien-portants en psychiatrie pour éviter à des fous d’aller en prison, à légaliser le viol, à censurer la pensée libre au bénéfice de minorités tyranniques, à légaliser le meurtre lorsqu’il est ouvertement maquillé en euthanasie, à légaliser la promotion des drogues, à légaliser le vol, à légaliser le préjudice des contaminations radioactives de la chaîne alimentaire, puis à prendre illégalement les dépôts de plaintes de terroristes pour condamner leurs victimes !
La situation est telle, que les criminels désormais, mais aussi les terroristes ont pris l’habitude de porter plainte contre leurs victimes, lorsque ces Procureurs et ces Polices paralogiques qui prennent ces plaintes sont complices de ces terroristes ou criminels, lorsque leurs plaintes constituent un abus de droit et alors que les victimes elles, ne prennent même plus la peine de porter plainte, dissuadées qu’elles sont de le faire, par la complicité ouvertement revendiquée de ces Tribunaux, avec ces terroristes ou criminels et ici par la revendication criminelle de Madame Bénédicte de Perthuis contre la citoyenneté de tous et l’humanité elle-même.
Il y a dans ce microcosme judiciaire par mimétisme d’action, soumission collective par pression de conformité sociale et par le conditionnement opérant réalisé par les chaînes de télévision, une totale incapacité mentale de ces professionnels du Droit, y compris même des avocats, à reconnaître un abus de droit lorsqu’ils y sont confrontés.
En en-tête de cet article figure la photo du siège de ce tribunal de Paris. Il s’agit d’un gratte-ciel érigé en bordure du périphérique parisien. Une tour d’ivoire, un château fort, un lieu d’isolement, une bureaucratie, une maison de fous à lier, de gens séparés du peuple, dissidents de la citoyenneté, qui habitent un monde hors sol. Ce bâtiment à lui seul par son architecture et son organisation physique dans la cité des Hommes, illustre par la forme l’état de la pensée de ces bureaucrates, qui par leurs crimes et complicités de crimes auto-démettent le Tribunal de ses prérogatives judiciaires et ceci, sans même que les individus de cette maison dans les nuages, ne soient plus mentalement capables de le comprendre ou de le percevoir.

Ainsi, en France par exemple un propriétaire immobilier peut être condamné au pénal pour défaut d’entretien d’un logement squatté, au bénéfice du squatteur ou encore, un habitant peut être condamné au pénal pour meurtre s’il venait en état de légitime défense ou selon « la loi du for » (Lex Fori) à induire la mort d’un cambrioleur ou d’un criminel à son domicile !
Ces exemples là sont la loi, mais ils ne sont pas le Droit.
Ces Juges ne font pas exprès, ils sont authentiquement fous et ignorants de leurs pathologies puisque ces dernières sont validées comme étant congruentes par le microcosme professionnel et médiatico-politique auquel ils appartiennent.
Cela, il faut le comprendre.
Marine Le Pen et les vingt-six autres victimes du Président du Tribunal Correctionnel de Paris, ne sont pas ainsi principalement les victimes d’une cabale politique, mais bien aussi d’une bureaucrate malade mentale qu’est Madame Bénédicte de Perthuis, lorsqu’elle n’est authentiquement pas apte à mentalement dissocier la lettre de l’esprit de la loi et mentalement pas apte à identifier un abus de Droit.
A sa décharge, Madame Bénédicte de Perthuis évolue dans un environnement professionnel, social, culturel, qui induit pour elle une pression de conformité et des conditionnements opérants notamment télévisés, qui lui causent en partie au moins la totale abolition de son discernement.
Quelles solutions ?
Il me semble nécessaire pour ma part, d’obtenir la mise en garde-à-vue de soixante-douze heures et l’expertise psychiatrique de Madame Bénédicte de Perthuis.
Il me semble aussi nécessaire de nous réserver le droit à la légitime défense à l’endroit de ces fous et enfin de nous réserver le droit de dénoncer publiquement la légalité du Tribunal Correctionnel de Paris, lorsque le dit « parlement européen », la dite « cour de justice européenne » et la dite « commission européenne » n’ont aucune existence légale, y compris par la décision de tous les peuples du continent Européen par referendum de récuser la dite « constitution européenne ».
Je me réserve le droit de porter plainte au pénal contre Madame Bénédicte de Perthuis pour le préjudice qu’elle me cause et j’invite les citoyens à considérer les plaintes au pénal que nous pouvons soutenir contre cet individu, pour le préjudice que ce criminel cause à tous les citoyens.
Voilà une douloureuse expérience de la confrontation, la place des fous étant en prison.
Alexandre Moreau
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