Énième scandale politique gravissime au niveau de l’Union européenne dirigée par la délinquante Ursula Von der Leyen ! Il s’agit cette fois-ci de la manipulation de l’opinion publique par de la vulgaire propagande. L’Union européenne a dépensé des dizaines de millions d’euros pour critiquer et discréditer toutes réflexions contre la politique climatiste, à vrai dire la Doxa climatiste. Ceci, bien entendu, de manière totalement illégale. C’est encore une fois la preuve supplémentaire que nous sommes dirigés par des voyous et des délinquants qui ne reculent devant aucune stratégie de manipulation et de tromperie.
C’est exactement la même stratégie qui a été utilisée pour le Covid-19 pendant la crise sanitaire. Toute personne ayant eu l’outrecuidance de critiquer les décisions politiques a été diabolisée et traitée de complotiste ou d’antivax… Nous ne sommes plus en démocratie, seule la voix de ces gouvernants corrompus est autorisée, tout le reste est considéré comme anormal et indésirable.
Faut-il rappeler qu’Ursula Von der Leyen a déjà été impliquée dans une très grave affaire de corruption lorsqu’elle était ministre de la Défense en Allemagne. Elle a d’ailleurs été exfiltrée à cause de ce scandale à plus de 100 millions d’euros. Du coup, elle a retrouvé un poste qui lui convient très bien : à la tête de l’Europe afin de de la détruire.
Après des années de critiques, la Commission reconnaît désormais officiellement le scandale.
Le soupçon planait depuis des années, c’est désormais officiel : la Commission européenne sous Ursula von der Leyen a soutenu des organisations environnementales avec l’argent du contribuable – non seulement pour la protection du climat et de l’environnement, mais aussi pour des campagnes politiques de dénigrement. L’objectif des ONG subventionnées était d’attaquer de manière ciblée les détracteurs de la politique climatique de Bruxelles.
Attirer l’attention sur les conservateurs et les critiques
L’aveu explosif : dans une prise de position officielle, la Commission reconnaît qu’il y a eu des « activités de lobbying inappropriées » dans les programmes d’ONG soutenus. Il s’agit apparemment d’attaques ciblées contre des adversaires politiques qui s’opposaient à certains projets de l’UE.
L’aveu : « La Commission constate que les programmes de travail présentés par les ONG … contenaient des activités de lobbying inacceptables. » ec.europa.eu/Capture d’écran
Subventions pour faire monter la température
Concrètement, il s’agit du programme de subvention « LIFE », qui a coûté des milliards et qui devait permettre de soutenir des projets environnementaux et des mesures climatiques. Mais il s’avère que des organisations ont également été payées pour utiliser ces fonds afin de mobiliser contre les politiciens conservateurs et les voix critiques.
Dans des documents internes, il était déjà question de « coopérations » avec des ONG, dans le cadre desquelles on se mettait d’accord sur les personnes contre lesquelles il fallait faire du lobbying. Aujourd’hui, Bruxelles l’admet pour la première fois : oui, de tels cas ont existé – et oui, ils étaient problématiques.
Seul un tiers des ONG publie les flux financiers
Particulièrement piquant : le manque de transparence financière n’est pas un cas isolé. Seul un tiers environ des ONG considérées comme « d’utilité publique » révèlent la provenance de leurs fonds – et ce qu’elles font exactement avec l’argent de l’UE. Pourtant, elles ont continué à être financées.
Von der Leyen s’incline à plusieurs reprises
Dès l’automne 2024 – sous la pression croissante du groupe conservateur au Parlement européen (PPE) – la Commission avait réagi pour la première fois : Une directive interne interdisait aux projets d’ONG de faire du lobbying auprès des institutions européennes avec des subventions. Mais ce n’était apparemment que la première étape.
Voici maintenant la deuxième : Bruxelles annonce des « corrections » dans le programme LIFE et promet plus de transparence. Un véritable nouveau départ ? La Commission veut continuer à soutenir les ONG – mais « pas contre des mesures politiques ou des députés européens ».
Le PPE se voit confirmé – et est satisfait
Pour le Groupe PPE, cet aveu est un succès. Peter Liese (CDU), porte-parole des chrétiens-démocrates pour l’environnement, parle d’un « comportement clairement erroné » de la part de certains fonctionnaires européens et d’ONG. La correction est en retard, mais nécessaire : « Nous saluons la déclaration de la Commission. Il faut mettre fin à l’utilisation abusive des fonds européens pour exercer une influence politique ».Le rôle d’Ursula von der Leyen reste flou. Lors des élections européennes de 2024, elle s’est présentée comme tête de liste du PPE – et assume la responsabilité politique en tant que présidente de la Commission.
Photo d’illustration : Bruxelles a versé des millions aux associations environnementales – mais pas seulement pour le climat : l’UE a financé des campagnes ciblées contre les opposants politiques et les voix gênantes. Après des années de critiques, la Commission reconnaît désormais officiellement le scandale.
Rédaction
4 avril 2025
Titre de l’article original en allemand : EU-Skandal nun offiziell! Von der Leyen bezahlte Klima-Hetze gegen Kritiker
Traduction : Lelibrepenseur.org avec DeepL Transtator
