
Licencié en 2023 pour avoir refusé de rentrer en avion d’une mission scientifique en Papouasie-Nouvelle-Guinée, Gianluca Grimalda n’a pas dévié de sa ligne : pas de transport aérien, trop émetteur de CO2. Deux ans plus tard, le chercheur italien a annoncé à Libération avoir retrouvé un poste, à l’université Masaryk, en République tchèque, où il prendra ses fonctions début 2026. Cette institution dit pouvoir « concilier » ses convictions climatiques avec ses contraintes académiques. (…)
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