Que montre la réforme audacieuse de l’ACIP par Robert F. Kennedy Jr. pour restaurer la confiance dans la science vaccinale ?


Le 9 juin 2025, Robert F. Kennedy Jr., secrétaire du Département américain de la Santé et des Services sociaux (HHS), a annoncé via un tweet une décision retentissante : la révocation des 17 membres du Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (Advisory Committee on Immunization Practices, ACIP), un panel d’experts chargé de formuler des recommandations sur l’utilisation des vaccins aux États-Unis. Cette annonce, relayée sur X (@SecKennedy) et détaillée dans un éditorial du Wall Street Journal, s’inscrit dans une volonté affichée de restaurer la confiance du public dans la science vaccinale, en éliminant ce que Kennedy qualifie de « conflits d’intérêts persistants » et de « science biaisée » au sein de l’ACIP. Cette décision, saluée par certains comme une réforme nécessaire, a suscité une vague de critiques de la part des médias traditionnels, des experts en santé publique et des associations médicales. Cet article explore les motivations de Kennedy, les réactions suscitées, les profils des membres révoqués, leurs prétendus conflits d’intérêts, l’analyse des données vaccinales récentes, l’impact de la révocation sur le vote prévu, et le contexte plus large de la mission « Make America Healthy Again » (MAHA).

 

Une décision radicale pour « rétablir la confiance publique »

Dans son tweet du 9 juin 2025, Kennedy a déclaré avoir « révoqué » les 17 membres de l’ACIP, promettant des remplaçants « médecins et scientifiques hautement qualifiés » adoptant une approche « objective et basée sur des preuves ». Il a promis de partager des exemples de « corruption historique » au sein de l’ACIP, justifiant cette « remise à zéro nécessaire ». Kennedy a particulièrement insisté sur l’absence d’essais cliniques contrôlés par placebo pour les vaccins recommandés, critiquant un article de CNN affirmant avoir identifié 257 études placebo-contrôlées, qu’il juge irrecevables faute de vrais placebos inertes. Il a dénoncé une augmentation spectaculaire du nombre de vaccins administrés aux enfants américains, passant de 11 injections en 1986 à entre 69 et 92 doses de la conception à 18 ans, attribuant cette expansion, facilitée par l’immunité juridique du National Childhood Vaccine Injury Act de 1986, à une « explosion » des maladies chroniques liée à une dérégulation du système immunitaire.

Cette décision semble être le fruit d’une stratégie calculée. Après avoir observé le fonctionnement de l’ACIP, notamment lors de sa réunion du 15 avril 2025, Kennedy aura noté que la composition du comité, inchangée depuis le décret MAHA, ne comprenait aucun expert demandant des essais placebo, malgré la nouvelle politique de la FDA exigeant de tels tests sous son influence. Ce timing, à peine deux mois après la réunion, suggère une intention de corriger un comité perçu comme laxiste et potentiellement idéologique, avant le vote crucial de juin 2025. Il vient compléter les enquêtes du ministère de la Justice sur les pratiques de certaines revues médicales qui pourrait comporter un biais idéologique contraire à la rigueur de l’éthique scientifique (biais de publications en faveur, par exemple, des vaccins ou contre les traitements précoces).  

The Focal Points

 
Réactions : entre soutien et indignation

La révocation a immédiatement polarisé l’opinion. Sur X, des utilisateurs comme @TheChiefNerd ont salué un « pas audacieux pour rétablir la confiance », dénonçant les liens présumés entre l’ACIP et l’industrie pharmaceutique. @MAHA_PAC a appuyé Kennedy, affirmant que l’ACIP agissait comme un « tampon encreur en caoutchouc » pour les vaccins, approuvant sans opposition même ceux retirés pour des raisons de sécurité. Ces soutiens reflètent une méfiance croissante envers les institutions, amplifiée par la pandémie.

En revanche, les médias traditionnels, cités par Maryanne Demasi, ont qualifié cette action de « meltdown » et de « chaos fabriqué ». L’American Medical Association (AMA) a dénoncé une perturbation d’un processus « transparent ayant sauvé d’innombrables vies ». Le Dr Paul Offit a défendu l’ACIP, soulignant ses succès contre la mortalité infantile, tandis que le sénateur Bill Cassidy, initialement rassuré sur l’intégrité du comité, s’inquiète d’une possible domination de membres « méfiants envers les vaccins ». Cette polarisation illustre le fossé entre les partisans de Kennedy et ses détracteurs.

 
Qui sont les membres révoqués de l’ACIP et quels sont leurs liens d’intérêts ?

Les 17 membres révoqués, tous nommés sous l’administration Biden (13 en 2024), incluaient la Dr Helen Keipp Talbot, présidente, et Noel Brewer, professeur à l’Université de Caroline du Nord, qui a confirmé son licenciement. Kennedy les accuse de « conflits d’intérêts persistants », citant un rapport de 2000 de la Chambre des représentants révélant des délibérations biaisées par des intérêts financiers, et un rapport de 2009 du HHS notant que 97 % des membres des comités consultatifs du CDC, y compris l’ACIP, n’avaient pas correctement rempli leurs formulaires de déclaration.

Cependant, le CDC soutient que les membres se récussent en cas de conflit, comme un membre l’ayant fait pour des votes liés à des essais où elle était impliquée. Des experts comme Dorit Reiss estiment que les accusations de Kennedy manquent de preuves spécifiques, arguant que l’ACIP reste un comité indépendant. Cette controverse alimente le débat sur la transparence du comité. Cependant, ce n’est pas tout.

 
Analyse des données vaccinales : mRNA-1283 et efficacité 2024-2025

Les 15-16 avril 2025, se tenait une réunion de revue de l’ACIP sur les données scientifiques. Les documents offrent un aperçu des vaccins évalués, notamment contre la covid. La présentation Bishop Rizkalla (Moderna) détaille le vaccin moderna mRNA-1283 et indique que dans un test de non-infériorité, ce nouveau vaccin n’aurait pas moins d’effets indésirables par rapport au Spikevax ! 12 % d’effets indésirables, dont 7 % sont rapportés pendant les 28 jours suivant l’injection, mais cela n’affecterait pas le profil de sécurité, selon Rizkalla. Une information relative puisque le test de non-infériorité se rapporte au Spikevax. 

Un autre point à noter dans cette réunion est l’absence d’experts ayant une vision plus critique des pratiques ou issues du mouvement MAHA. Les présentations se succèdent sans en avoir une sur les effets indésirables de la vaccination. À l’instar de celle Ruth Link-Gelles (CDC) qui présente des estimations d’efficacité pour 2024-2025, basées sur les réseaux VISION et IVY. Ni Rizkalla ni Link-Gelles ne mentionnent les essais placebo comme test permettant de vérifier réellement les bénéfices et les risques des vaccins – apparemment, la norme du test de non-infériorité est acceptée sans jamais aucune critique. Cela contraste avec la déclaration de Moderna d’avoir accepté un tel essai. Ce point pourrait être exploité par Kennedy pour dénoncer un conformisme avec des habitudes qui ne sont pas alignées sur l’intérêt des citoyens. L’hyperspécialisation et la négligence ont-elles eu raison de la santé des citoyens et du primum non nocere ?

 

Le rôle central de l’ACIP et impact de la révocation

L’ACIP, « cœur du réacteur » des recommandations vaccinales, devait voter les directives 2025-2026 les 25-27 juin 2025 à Atlanta.

Comité

Le Work Group, dirigé par Robert Schechter, avait proposé une approche fondée sur les risques aux patients ciblant les ≥65 ans et immunodéprimés âgés de plus de six mois. Aucune considération n’a été donné à la suspension de la vaccination covid ou aux effets indésirables.

Calendrier

La révocation des 17 membres vide le comité, rendant le vote improbable sans reconstitution rapide. Kennedy explique que cette purge devrait pousser l’ACIP à s’aligner les nouveaux standards rigoureux imposés par la FDA et les NIH, un départ des pratiques actuelles.

 

La mission MAHA et les réformes de Kennedy

La révocation s’inscrit dans le cadre de MAHA, un décret de Trump visant transparence et rigueur scientifique afin de rendre les Américains en bonne santé. Kennedy a soutenu la nomination du Dr Jay Bhattacharya pour restaurer « la science de référence » et imposé à la FDA des essais placebo. 

Malgré l’approbation d’un vaccin Moderna ciblé, il fait face à des critiques l’étiquetant « antivax », qu’il rejette en prônant une science rigoureuse, dans un climat de tension politique.

 

Une stratégie audacieuse de Kennedy face aux failles de l’ACIP

La révocation des 17 membres de l’ACIP par Robert F. Kennedy Jr. le 9 juin 2025 s’avère un coup de maître stratégique, probablement établi sur l’observation des failles pré et post-réunion d’avril 2025. 

Avec une composition inchangée depuis l’élection de Trump et le décret MAHA, sans experts ayant pris soin de considérer les nouvelles exigences de la HHS, comme par exemple l’exigence d’essais placebo – une norme que la FDA impose désormais – Kennedy dénonce une idéologie compromettant l’intégrité scientifique. Les présentations de Rizkalla et Link-Gelles, en apparence complètes, ignorent les nouvelles exigences, révélant une forme d’opposition idéologique à la transformation de la HHS ou un certain laxisme, voire une opposition à la politique de la HHS. C’est Kennedy en personne qui rappellera que l’approbation du nouveau vaccin Moderna s’est faite avec l’acceptation par Moderna d’un essai placebo

Cette décision qui bloque le vote de juin 2025, devrait forcer une refonte rigoureuse. Le succès dépendra des nouveaux membres, dans un contexte sous lequel la science doit primer sur les biais, annonçant de prochaines semaines fort intéressantes à suivre.

 

 

Traduction du tweet de Kennedy

Hier, j’ai démissionné les 17 membres du Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (Advisory Committee on Immunization Practices or ACIP), le groupe externe @CDCgov chargé de l’importante responsabilité d’ajouter de nouveaux vaccins au calendrier vaccinal recommandé pour les enfants. Dans les prochains jours, j’utiliserai cette tribune pour annoncer les nouveaux membres qui viendront compléter l’ACIP. Aucun de ces membres ne sera un anti-vaccin idéologique. Ce seront des médecins et des scientifiques hautement qualifiés qui prendront des décisions de santé publique extrêmement importantes en appliquant des processus décisionnels fondés sur des données probantes, avec objectivité et bon sens.

Je publierai également sur Twitter des exemples de corruption historique au sein de l’ACIP pour aider le public à comprendre pourquoi ce nettoyage était nécessaire.

L’exemple le plus flagrant de la malversation de l’ACIP est son refus obstiné d’exiger des essais de sécurité adéquats avant de recommander de nouveaux vaccins pour nos enfants. Aujourd’hui, un enfant américain obéissant reçoit entre 69 et 92 vaccins de routine (selon la marque et le dosage prescrit) de sa conception à ses 18 ans. Ce chiffre est en hausse par rapport aux 11 injections de 1986. L’ACIP a recommandé chacun de ces vaccins supplémentaires sans exiger d’essais contrôlés par placebo pour aucun d’entre eux. Cela signifie que personne ne peut scientifiquement affirmer que ces produits préviennent plus de problèmes qu’ils n’en causent.

De nombreux promoteurs de vaccins ont contesté cette affirmation. Ils ont toujours tort. La semaine dernière, @CNN, devenu un propagandiste éhonté de Big Pharma, a annoncé triomphalement détenir la preuve que mon affirmation selon laquelle « aucun essai de sécurité contrôlé par placebo n’a été réalisé pour les vaccins de routine » était fausse. CNN a proclamé avec jubilation avoir trouvé 257 études contrôlées par placebo pour les vaccins de routine.

Alors, permettez-moi un instant de déconstruire les affirmations de CNN. Attention : cet article ne sera supportable que pour les passionnés de science comme moi.

CNN a tort. Aucun vaccin injecté de routine du programme des CDC n’a été homologué pour les enfants sur la base d’un essai contrôlé par placebo. Dans les cas où un vaccin a été utilisé comme témoin, il n’a jamais été homologué non plus sur la base d’un essai contrôlé par placebo. Ce n’est pas une conjecture. C’est un fait fondé sur les données des essais cliniques de la FDA. (Voir http://sirillp.com/noplacebo ). En tant que secrétaire d’État @HHSGov, reconnaître cette triste vérité fait partie de ma promesse de transparence radicale.

Les 257 études citées par CNN reflètent involontairement l’absence d’essais d’innocuité sur lesquels repose le calendrier des CDC. Malgré les efforts déployés par CNN à l’échelle mondiale pour collecter des données sur les essais avec un placebo (par @US_FDA , une substance inerte) *) cette liste, à première vue, indique que 236 études n’ont clairement pas utilisé de comparateur d’innocuité « inerte » dans le cadre d’un essai visant à autoriser un vaccin de routine injecté pour les enfants, conformément au calendrier des CDC ** .

Pour les 21 études restantes, la liste de CNN prétend avoir utilisé une injection inerte, 9 ne l’ont manifestement pas fait :

  • ECR 251, 252 (Varivax) ont injecté un antibiotique, la néomycine – non inerte.
  • RCT 84, 97 (HPV-16 et 16/18) adjuvant d’aluminium injecté – non inerte.
  • L’ECR 215 (Almevax) a injecté un autre vaccin – non inerte.
  • ECR 55 (PedvaxHIB lyophilisé) lactose injecté, adjuvant d’aluminium et thimérosal – non inerte.
  • ECR 197 (vaccin Salk) solution injectée 199, culture tissulaire synthétique, éthanol, rouge de phénol, antibiotiques et formol – non inerte. ***
  • ECR 168 (Dow ‘s ROR) vaccin complet injecté moins le virus, y compris tous les stabilisants, antibiotiques, diluant, conservateur et tampons – non inerte. ****
  • ECR 189 (Menveo) injecté Tdap+saline ou Menveo+saline – non inerte.

Pour les 12 études restantes répertoriées qui ont pu comporter une injection inerte, aucune n’était un essai sur lequel on s’est appuyé pour autoriser un vaccin de routine dans le calendrier infantile du CDC :

  • Les essais contrôlés randomisés (ECR) 170, 171, 172 (MMR VaxPro), 228 (PCV11), 136 (Vaxigrip), 242 (Antitétanos) et 122 (vaccins contre la grippe chinoise) ont testé des vaccins qui n’ont jamais été homologués aux États-Unis ni sur lesquels on s’est appuyé pour homologuer un vaccin américain.
  • Les essais RCT 124 (Fluzone IIV3), 102 (WVV/SPV) et 188 (Menveo) ont eu lieu après l’homologation de chaque vaccin respectif et n’ont donc pas été utilisés pour leur homologation.
  • La FDA n’a pas invoqué l’essai clinique randomisé 176 (vaccin contre les oreillons) pour homologuer le vaccin RRO actuel. (Voir le rapport de l’essai clinique RRO-II dans le lien ci-dessus.)
  • L’essai RCT 53 (PRP-D) portait sur un vaccin retiré peu après son introduction et sur lequel la FDA ne s’est pas appuyée pour autoriser un vaccin aux États-Unis.

Bien que ces 12 études n’aient pas été utilisées pour autoriser un vaccin de routine dans le calendrier des CDC, elles montrent qu’un essai contrôlé par placebo est possible. Elles reflètent également les enseignements tirés d’un essai placebo. Par exemple : l’ECR 136 a conclu à l’inefficacité du vaccin ; l’ECR 122 a constaté que « des effets indésirables graves sont survenus chez 69 ( 0,6 %, IC à 95 % 0,5–0· 8) des personnes vaccinées, contre un seul (0,1 %, 0–0,2) des personnes sous placebo » ; et l’ECR 124 a constaté que « le taux d’hospitalisation était en réalité plus élevé dans le groupe vacciné [Fluzone IIV3] que dans le groupe placebo ».

La triste réalité est que les essais contrôlés par placebo n’ont pas lieu et ne sont pas utilisés lorsque la FDA autorise des vaccins injectables pendant l’enfance ou que l’ACIP recommande l’ajout de l’injection au programme de routine du CDC.

CNN serait parvenue à la même conclusion si elle avait examiné la documentation de la FDA pour chaque vaccin, au lieu de s’appuyer sur une liste aléatoire et participative issue d’Internet. La liste de CNN démontre ironiquement l’absence d’essais de sécurité adéquats pour les vaccins infantiles de routine. Il est temps de cesser de jouer à des jeux, comme le faux piège de CNN. Nous sommes passés de 3 injections systématiques avant un an en 1986 (année de l’adoption du National Childhood Vaccine Injury Act) à 25 injections systématiques avant un an en 2025 (ce qui n’inclut plus le vaccin contre la Covid-19). En raison de la loi de 1986, tous ces produits, sauf un, ont été développés par des entreprises sachant qu’elles ne seraient presque jamais responsables de dommages graves. Durant cette même période, les maladies chroniques chez nos enfants ont explosé, la plupart étant causées par un dérèglement du système immunitaire. Pour identifier les expositions à l’origine de cette épidémie de maladies auto-immunes, nous devons exclure comme coupables potentiels les produits administrés des dizaines de fois aux jeunes enfants, notamment pour modifier le système immunitaire.

Nos nourrissons et nos enfants méritent les meilleurs essais de sécurité possibles pour assurer leur sécurité. Nous devrions nous soucier autant de chaque enfant susceptible d’être blessé par l’un de ces produits que de chaque enfant susceptible d’être atteint d’une maladie infectieuse. Nous devons protéger tous les enfants.

Remarques :

* https://www.fda.gov/media/130326/download (« Les placebos, définis comme des substances inertes sans activité pharmacologique, sont couramment utilisés dans les essais cliniques contrôlés randomisés en double aveugle. ») ; https://fda.gov/media/71349/download (« la conception du contrôle placebo, en… incluant un groupe qui reçoit un traitement inerte… ») ; https://www.cdc.gov/vaccines/glossary/ (« Placebo : une substance ou un traitement qui n’a aucun effet sur les êtres vivants, généralement utilisé comme comparaison avec un vaccin ou un médicament dans les essais cliniques. »).

** Bien que ce qui précède concerne les vaccins injectés, la liste citée par CNN comprend également 10 essais sur le vaccin contre le rotavirus, administré par gouttes orales, mais aucun de ces essais n’a utilisé de gouttes salines uniquement. Au lieu de cela, les ECR 205, 207, 208, 209, 210, 213 (Rotarix) contenaient du dextrane, du sorbitol, des acides aminés, du milieu Eagle modifié de Dulbecco, du carbonate de calcium et du xanthane ; les ECR 211, 212 (RotaTeq) contenaient du polysorbate 80, du saccharose, du citrate et du phosphate ; et les ECR 206, 214 (Rotavac) comprenaient du sulfate de néomycine, du sulfate acide de kanamycine, du tréhalose, de l’hydrolysat de lactalbumine, de l’albumine humaine, du dihydrogéno-orthophosphate de potassium, du dihydrogéno-orthophosphate de potassium et du citrate trisodique dihydraté. Français La liste comprenait également trois essais d’un vaccin antigrippal inhalé ; les témoins dans l’ECR 104 étaient OPV + solution saline ou LAIV (un vaccin), donc aucun des deux n’était inerte ; dans l’ECR 106, le témoin « consistait en du liquide allantoïdien normal prélevé sur des œufs non infectés stabilisés avec du saccharose-phosphate-glutamate » ; et, dans l’ECR 109, le témoin était « une pulvérisation intranasale de liquide allantoïdien d’œuf contenant du saccharose-phosphate-glutamate ».

*** Il convient de noter que les vaccins antipoliomyélitiques actuellement utilisés aux États-Unis sont un produit différent du vaccin antipoliomyélitique développé par Jonas Salk dans les années 1950, qui a été abandonné dans les années 1960, notamment parce que les vaccins antipoliomyélitiques actuellement utilisés sont « cultivés dans des cellules Vero, une lignée continue de cellules rénales de singe cultivées sur des microporteurs ». Par conséquent, l’essai Salk n’a pas été utilisé pour autoriser un quelconque vaccin contre la polio. https://fda.gov/media/75695/download… ; https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/6740101/ ; https:// http://admin.phe-culturecollections.org.uk ‌media/1222‌49/‌vero-cell-line-profile.pdf; https://atcc.org/products/all/ccl-81.aspx#characteristics… .

**** Le vaccin ROR de Dow Chemical utilisait des souches différentes de celles de tout vaccin ROR homologué aux États-Unis et, après 14 jours d’examen de sécurité, cet essai a vacciné tous les participants.





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