La découverte révolutionnaire de la Chine dans le domaine du diabète et les réactions négatives à l’échelle mondiale


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par Alex Ramirez

Des scientifiques chinois auraient mis au point une thérapie par cellules souches capable d’inverser le diabète de type 1 et de type 2, une découverte qui pourrait transformer les soins de santé mondiaux. Si cette avancée scientifique offre un nouvel espoir à plus de 500 millions de personnes dans le monde atteintes de cette maladie chronique, elle menace également de bouleverser l’industrie pharmaceutique, qui pèse plusieurs milliards de dollars et prospère grâce au traitement, et non à la guérison, du diabète.

Le traitement révolutionnaire

Au cœur de cette innovation se trouve une technique qui utilise les propres cellules adipeuses du patient pour générer des cellules insulaires productrices d’insuline. Ces cellules modifiées sont ensuite transplantées dans l’organisme, où elles régulent naturellement la glycémie. Comme ces cellules sont autologues (provenant de la même personne), il n’y a aucun risque de rejet immunitaire et les patients n’ont pas besoin d’immunosuppresseurs.

Les premiers essais ont produit des résultats stupéfiants :

Une femme de 25 ans atteinte de diabète de type 1 a complètement arrêté l’insuline en 75 jours.

Un homme de 59 ans atteint de diabète de type 2 a cessé de prendre de l’insuline en seulement 11 semaines. Un an plus tard, il ne prend toujours aucun médicament.

Comment ça marche

Cette thérapie s’appuie sur la technologie des cellules souches pluripotentes induites (CSPi), une méthode de reprogrammation des cellules adultes pour qu’elles se comportent comme des cellules souches embryonnaires. Les scientifiques transforment ensuite ces cellules en cellules insulaires, que le pancréas utilise pour produire de l’insuline.

Cette thérapie s’appuie sur la technologie des cellules souches pluripotentes induites.

Le processus reconstruit essentiellement un pancréas diabétique de l’intérieur vers l’extérieur, sans avoir besoin d’organes de donneur, de médicaments immunosuppresseurs ou d’insulinothérapie à vie.

Pourquoi cela pourrait tout changer

Les implications d’un traitement évolutif et efficace du diabète sont énormes :

Plus d’injections ni de pompes à insuline.

Risque réduit d’insuffisance rénale, de cécité et d’amputations dues à un diabète non géré.

Des milliards économisés en frais de santé à long terme.

Pour les pays confrontés à des taux de diabète en hausse, cette thérapie pourrait signifier moins de visites à l’hôpital, une meilleure qualité de vie et une diminution spectaculaire des coûts de gestion des maladies chroniques.

Le problème des 20 milliards de dollars

Si la nouvelle est saluée par la communauté médicale, l’industrie pharmaceutique est moins enthousiaste. Rien qu’aux États-Unis, les ventes d’insuline génèrent plus de 20 milliards de dollars par an. Les entreprises sont peu incitées à promouvoir un traitement unique alors qu’elles tirent profit d’un traitement quotidien à vie.

Les initiés du secteur préviennent que de telles innovations se heurteront à une forte résistance, notamment :

  • Obstacles réglementaires et retards des agences fortement influencées par le lobbying pharmaceutique.
  • Suppression ou discréditation des résultats de recherche qui menacent les modèles de profit existants.
  • Guerres de brevets et blocages juridiques pour bloquer ou contrôler l’accès aux nouvelles thérapies.
Tensions mondiales et inégalités en matière de santé

Le fait que cette innovation vienne de Chine ajoute une dimension géopolitique. L’Occident étant traditionnellement leader du développement pharmaceutique, un remède chinois pourrait bouleverser l’équilibre des pouvoirs en matière de santé mondiale.

De plus, si l’accès est restreint dans certains pays en raison de pressions politiques, réglementaires ou économiques, des millions de patients pourraient être laissés pour compte et continuer à payer des prix exorbitants pour l’insuline même lorsqu’un remède fonctionnel existe.

Optimisme prudent

Malgré ces promesses, les chercheurs soulignent la nécessité d’essais cliniques plus vastes et d’un suivi à long terme. Des questions subsistent :

Les îlots dérivés de cellules souches continueront-ils à fonctionner indéfiniment ?

Cette thérapie peut-elle être mise en œuvre à grande échelle pour une production et une distribution de masse ?

Quelles sont les implications à long terme en matière de sécurité ?

L’Administration nationale des produits médicaux de Chine accélère la prochaine phase des essais, tandis que les chercheurs internationaux recherchent déjà une collaboration.

L’avenir du diabète

Si cette thérapie réussit, elle pourrait marquer le début de la fin du diabète tel que nous le connaissons. Mais le chemin à parcourir ne nécessitera pas seulement une validation scientifique : il exigera du courage politique, une clarté éthique et la défense des consommateurs pour vaincre la résistance des géants industriels bien établis.

La suite des événements dépendra peut-être moins des scientifiques que de la pression publique. Les groupes de défense des droits, les communautés de patients et les médias indépendants joueront un rôle crucial pour maintenir cette avancée sous les projecteurs. Si suffisamment de voix réclament transparence, accessibilité et urgence, cette thérapie pourrait passer du statut de remède jusqu’alors ignoré à celui de norme mondiale, redéfinissant non seulement la prise en charge du diabète, mais aussi l’équilibre des pouvoirs entre innovation et industrie.

Conclusion

Cette avancée nous confronte à une dure réalité : les soins de santé modernes ne sont pas toujours conçus pour privilégier les traitements. Pendant des décennies, des millions de personnes ont été contraintes de gérer leur maladie, et non de la surmonter, alimentant ainsi une industrie fondée sur des prescriptions récurrentes, des consultations médicales routinières et une dépendance à vie. Un traitement remet en cause ce modèle dans ses fondements.

Il ne s’agit pas seulement d’une affaire médicale : c’est un point d’éclair dans la lutte permanente entre santé publique et profit des entreprises. Sous l’œil attentif du monde entier, une question se pose :

L’humanité acceptera-t-elle le remède, ou sera-t-elle enterrée sous la bureaucratie et la cupidité ?

source : Engineerine via La Gazette du Citoyen



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