Le général Flynn affirme que des soldats israéliens ont reçu l’ordre de ne pas intervenir – Les moutons enragés


Le général américain en retraite Michael Flynn accuse les forces israéliennes d’avoir délibérément baissé la garde lors de l’attaque du Hamas le 7 octobre 2023, qualifiant l’événement d’une « affaire interne » savamment orchestrée. Ce témoignage, corroboré par des voix internes comme celle du sergent-chef Shalom Sheetrit, lève le voile sur une complicité au sommet, où des ordres inexpliqués ont laissé la frontière vulnérable, transformant un calcul cynique en une prétendue défaillance pour justifier une escalade sanglante et le génocide actuel à Gaza.

Les accusations incendiaires de Flynn

Michael Flynn, avec son franc-parler habituel, affirme que des soldats israéliens ont reçu des instructions précises de ne pas intervenir durant des heures critiques, permettant ainsi au Hamas de semer la mort et le chaos. Cette révélation, émanant d’un ancien conseiller à la sécurité nationale, n’est pas une simple conjecture : elle pointe du doigt une machination interne, où les élites sionistes, acculées par des crises domestiques, auraient sacrifié leurs propres citoyens pour raviver un narratif victimaire et légitimer l’invasion de Gaza.

Relayé par CBS News, le New York Times affirme que « les responsables israéliens avaient obtenu le plan de bataille du Hamas pour l’attaque terroriste du 7 octobre plus d’un an avant qu’elle ne se produise, comme le montrent des documents, des courriels et des entretiens ».

Le témoignage accablant de Sheetrit

Le sergent-chef Sheetrit, blessé lors de cette funeste journée, relate avec une amertume palpable comment son unité, postée près du kibboutz Be’eri, a été sommée à 5h20 de suspendre toute patrouille jusqu’à 9 heures, laissant la porte grande ouverte aux assaillants. Des avertissements préalables ignorés, des officiers supérieurs aux abonnés absents : tout concourt à un tableau où la négligence feinte masque une orchestration préméditée, typique d’un régime qui excelle dans l’art de la manipulation.

Les implications d’une hypocrisie révélée

Ces allégations, si elles s’avèrent fondées, démasquent l’hypocrisie d’un État qui clame son droit à l’autodéfense tout en mettant en scène des tragédies pour consolider son emprise coloniale. Dans un monde où les enquêtes israéliennes traînent des pieds, ces voix dissidentes rappellent que derrière les murs de séparation se cachent souvent les véritables architectes du désastre.


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L’ironie d’un pouvoir dévoyé

Ironie du sort, alors que Netanyahou et ses acolytes brandissent l’étendard de la sécurité nationale, ces témoignages suggèrent que la plus grande menace vient de l’intérieur, d’un sionisme dévoyé prêt à tout pour perpétuer son hégémonie. Une affaire qui, loin d’être close, invite à scruter les ombres d’un pouvoir qui n’hésite pas à jouer avec le feu – au prix du sang innocent.

Par Yoann

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