Le masque tombe sur Radio France – une propagande sous couverture d’impartialité


À la lecture de la tribune de Vincent Meslet, Directeur éditorial de Radio France, intitulée « Pour un débat honnête », on ne peut qu’être saisi par un mélange d’incrédulité et d’indignation. Ce texte, présenté comme un plaidoyer pour l’indépendance et le pluralisme, n’est en réalité qu’un ramassis d’hypocrisies et de bien-pensance, un écran de fumée dressé pour masquer une partialité institutionnalisée. Permettez-moi de démonter cette façade, en m’appuyant sur des faits irréfutables et en enrichissant l’analyse avec des éléments contextuels cruciaux.

Partialité avouée, impartialité feinte

Meslet ose affirmer que Radio France ne craint pas le débat sur son indépendance et vante l’impartialité de ses équipes. Pourtant, son propre aveu, publié en 2015 dans Libération, où il confessait toujours voter socialiste (sauf une fois pour les écolos), trahit une inclination politique qui disqualifie d’emblée sa prétention à une neutralité d’airain. Comment un homme aux convictions aussi marquées peut-il prétendre régir un média public sans parti pris ? La réponse est simple : il ne le peut pas, et son texte le prouve.

Ajoutons à cela l’exemple de Céline Pigalle, ex-directrice de la rédaction de BFM TV, qui a osé déclarer que son média « ne sert personne ». Une affirmation vite démentie par ses propres mots lors d’une table ronde de l’AJSPI en janvier 2022, où elle reconnaissait que, durant la crise sanitaire, BFM s’était abstenu d’aller « à rebours de la parole officielle » pour ne pas « fragiliser le consensus social ». Voilà une soumission aux narratifs gouvernementaux déguisée en prudence éditoriale ! Ce double langage est la marque d’une hypocrisie qui gangrène les médias mainstream.

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Censure assumée d’Adèle Van Reeth

Le tableau s’assombrit encore avec les déclarations d’Adèle Van Reeth, directrice de France Inter qui en avril 2024, assume fièrement censurer les « climatosceptiques », les « antivax » et les « fachos » au nom d’un prétendu « intérêt général ». Cette ligne éditoriale sélective achève de ruiner l’argument pluraliste de Meslet.

Chez Radio France, le débat n’est-il toléré que s’il s’aligne sur le dogme progressiste et écologiste imposé par la direction ? Censurer des idées sous prétexte de « protéger » les auditeurs est une dérive totalitaire qui contredit l’essence même d’un service public.

Contre-vérités et déni de réalité

Meslet accumule les contre-vérités avec une audace déconcertante. Affirmer que Radio France est le média le plus pluraliste de France est une plaisanterie amère. Les auditeurs de France Inter, saturés de lignes éditoriales uniformément ancrées à gauche, en savent quelque chose. Accuser CNews et Europe 1 de fabriquer des récits pour attaquer Radio France revient à balayer d’un revers de main la colère légitime des Français, qui, depuis mi-2025, réclament à cor et à cri la privatisation d’un service public confisqué par une caste partisane.

Le scandale Legrand-Cohen, révélé en septembre 2025 avec des enregistrements suggérant une collusion avec le PS, renforce cette perception, malgré les dénégations outrées de Meslet. Nier ces faits relève d’un aveuglement volontaire, et sa confiance indécente à défier l’Arcom trahit une assurance dans un système qui protège ses dérives.

Le détournement des citoyens et l’arrogance de Thomas Legrand

Pire encore, les citoyens se détournent massivement de médias comme Radio France, écœurés par ce manque flagrant d’objectivité. Les enquêtes d’opinion, publiées début septembre 2025, révèlent une chute de 15 % de la confiance dans les médias publics depuis le début de l’année, un désamour amplifié par des scandales à répétition. Parmi ceux-ci, l’affaire Thomas Legrand illustre parfaitement cette déconnexion. En qualifiant France Inter de « ma radio » dans une déclaration datée du 9 septembre, ce chroniqueur a dévoilé une arrogance et un sentiment de propriété indécents. Cette posture possessive, comme je l’ai souligné sur X, contredit l’éthique d’un service public censé appartenir à tous les Français, et non à une poignée d’idéologues autoproclamés. Cette appropriation symbolique est le symptôme d’une culture interne où l’intérêt général est sacrifié sur l’autel des agendas personnels.

Une machine à propagande à privatiser

En somme, la tribune de Meslet est une ode à l’autosatisfaction d’une caste médiatique déconnectée, gavée par nos impôts, qui préfère étouffer la liberté d’expression plutôt que de l’honorer. Les Français ne sont plus dupes : ce soi-disant « débat honnête » n’est qu’un leurre pour perpétuer un magistère moral insupportable.

Face à cette dérive, la solution s’impose : il est temps de rendre des comptes, de ne plus subventionner ces médias ou, mieux encore, de privatiser cette machine à propagande. Avec 50 % des citoyens, selon les sondages récents, favorables à une telle mesure, l’heure de la rupture est venue. Que Radio France se réforme ou disparaisse, mais qu’elle cesse de bafouer la confiance de ceux qu’elle prétend servir !

Tweet de Xavier Azalbert : 
 

 

 

 





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