
Sous l’œil des caméras de surveillance et des gendarmes, notre chroniqueur Mathieu Yon attend chaque jour sur un banc, face au Quai d’Orsay. Il espère faire sortir de Gaza son amie, la poétesse Alaa Al-Qatrawi.
Depuis le 24 septembre, j’attends sur un banc, de 9 heures à 19 heures. J’attends un rendez-vous avec le directeur de cabinet du ministère des Affaires étrangères, pour réclamer la reprise de l’accueil des Gazaouis, gelé depuis le 1ᵉʳ août, et plaider la cause de mon amie, la (…)