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Interview et traduction (non-IA !) : Mendelssohn Moses
«Les injections à ARN-M reposent sur une technologie inédite qui se loge de manière centrale et massive dans le fonctionnement du corps, comparable aux Rayons-X»
Obstétricien autrichien, membre fondateur de Initiative für Evidenz-basierte Corona Information : www.initiative-corona.info.
Mendelssohn Moses : Dr Fiala, parlez-nous de votre parcours. Comment se fait-il que vous parliez si bien le français ?
Christian Fiala : À l’école, nous avions étudié le latin et l’anglais plutôt que le français. Cependant j’ai toujours cherché à apprendre d’autres langues et ainsi converser avec nos semblables partout en Europe. Quelle chance d’avoir autant de pays sur notre continent ! Mais la multiplicité des langues soulève tout de même des obstacles aux échanges voire à l’entente mutuelle. Pendant six mois j’ai donc interrompu mes études de médecine pour séjourner en France et y apprendre la langue – puis j’y suis revenu maintes fois depuis pour étudier et travailler.
Mendelssohn Moses : Vous êtes obstétricien, mais connu internationalement comme opposant aux injections dites «anti-Covid» (ci-après : «injections»). Pourquoi vous y êtes-vous opposé ?
Christian Fiala : En plus de mes études médicales, j’ai obtenu un doctorat (PhD) dont le thème était la recherche scientifique : je voulais aller aux fond des choses afin de comprendre de quoi il en retournait, plutôt que de singer ce que d’autres proposaient. N’est-ce pas la mission du scientifique que d’interroger et de s’interroger ? «Never stop questioning», selon Albert Einstein.
Or, la lecture des tout premiers rapports concernant le coronavirus pointaient déjà de multiples contradictions. J’ai parcouru les publications scientifiques disponibles à l’époque, par exemple sur le bâtiment de croisière Diamond Princess, bloqué en quarantaine pendant quatre semaines début 2020 en raison de Covid. Les données démontraient de manière nette et cohérente que le virus était plutôt inoffensif par rapport aux autres formes de grippe. Et que les mesures alors imposées étaient injustifiées.
Cette conclusion – virus plutôt inoffensif – fut par la suite confirmée par quantité d’études. Ainsi il était inutile de s’obstiner à vouloir vacciner. Par ailleurs, les injections dites «anti-Covid» reposaient certes sur une technologie qui intrigue, peut-être, mais surtout tout à fait nouvelle et non-testée. Il eut fallu impérativement soumettre cette technologie à des études scientifiques au lieu de l’imposer au monde entier – contre un virus inoffensif.
Ces contradictions d’emblée manifestes ont été évacuées du discours public, et ce, jusqu’à ce jour, du moins en grande partie.
Mendelssohn Moses : Vous dîtes que la guerre cognitive («nous sommes en guerre») style Covidémence, fut en réalité été lancée il y a 40 ans, avec le VIH en ballon d’essai. Quelle était la stratégie d’alors ? Quelles sont les ressemblances avec la période Covidémence ?
Christian Fiala : Àpremière vue cela paraît tiré par les cheveux. Toutefois à y regarder de près on trouve de nombreux points en commun entre les campagnes VIH/Sida et Corona. Et dans les faits HIV/AIDS s’est avéré être un ballon d’essai pour la campagne-Covid.
Jeune médecin, ma curiosité m’a amené dans les années ‘80 et ‘90 à poser des questions sur divers éléments et affirmations relatifs au VIH/Sida, sans qu’il n’y eut de réponse satisfaisante. Avec l’arrivée du Covid les parallèles avec les campagnes VIH/Sida m’ont frappé ; pour certains ce sont les mêmes gens au sein du CDC et d’autres organisations de santé qui étaient aux manettes. Aussi, le même test a été mis en œuvre, le «test» PCR, qui est de zéro utilité dans ce cas de figure, produisant quantité de faux positifs.
Dans les deux cas on a réussi à paniquer les gens au moyen du test. Les données scientifiques ne correspondaient pas à l’ampleur de la panique publiquement annoncée, en l’absence d’une quelconque base scientifique pour les campagnes en question. Les données pertinentes n’ont pas été reconnues – au contraire, tout comme avec le VIH, la communication se bornait à brasser de l’émotif ; on créa la peur sans tolérer la moindre discussion.
Début 2020 le doute s’est emparé de moi ; j’ai soulevé d’autres interrogations encore et j’ai réussi à les publier, souvent grâce à une organisation que plusieurs d’entre nous avons fondée, Initiative pour une information sur le Covid basée sur des preuves : Initiative für Evidenz-basierte Corona Information, www.ici.org
Notons qu’un journaliste anglais, Neville Hodgkinson, en a fait un livre : «How HIV/Aids Set the Stage for the Covid Crisis».
Mendelssohn Moses : À votre sens, le Covid-19 était-ce si dangereux que cela ?
Christian Fiala : Oh que non ! Les données scientifiques montrent sans ambiguïté que le SARS-CoV-2 était moins contagieux et produisait des symptômes moins accusés que d’autres formes grippales. Dès le lancement de la campagne-Covid, début 2020 ces données étaient largement connues mais ne furent pas dévoilées par les décideurs politiques. D’un point de vue scientifique cela ne fait aucun sens – à moins naturellement qu’il n’existât d’arrières-pensées.
Sinon, pourquoi y avait-il tout de même des gens dans le coma, des gens estropiés etc. ?
Avec la grippe, la diversité extrême des conséquences est notoire. Très souvent on ne remarque même pas l’infection car le système immunitaire l’a déjà repoussée à l’approche. Tandis que d’autres tombent très malade jusque, malheureusement, à en mourir. C’est le cas pour tous les virus de grippe, raison pour laquelle la mortalité en hiver est plus élevée qu’en été.
Divers facteurs décident de si ou non la personne tombe malade, indépendamment de la dangerosité du virus, surtout l’état du système immunitaire. Vieux débat – qu’est ce qui compte ? La dangerosité du virus ou l’état du système immunitaire ? Louis Pasteur a contribué à ce débat avec sa conclusion bien connue : «Le microbe n’est rien, le terrain est tout». Grosso modo, c’est aussi valable pour le Covid.
Mendelssohn Moses : Devrait-on s’aventurer sur le terrain du «virus crée en laboratoire» etc. ? Il semblerait qu’il y ait réellement eu fuite de laboratoire ; par ailleurs, d’éminents professeurs tels Montanier ou Henrion-Caude considèrent que le virus a été fabriqué.
Christian Fiala : Les données sont fiables en l’espèce : le coronavirus était peu contagieux et n’a déclenché une maladie grave qu’en de rares cas, comparé aux autres formes grippales. Si quelqu’un affirme que ce virus inoffensif serait échappé d’un laboratoire ou aurait était créé au sein d’un laboratoire militaire de recherche, demandons-nous au moins pourquoi se donner la peine de créer des virus aussi inoffensifs ? S’il s’agit d’un labo militaire, on peut s’interroger sur l’expertise des laborantins, si c’est ça, le pire dont ils sont capables. En tout cas, il n’y a aucun motif d’alarme à avoir devant ce virus précis.
Mendelssohn Moses : Plus généralement, on observe que désormais, l’ARN Messager se retrouve dans presque tous les «vaccins». Pourquoi ? Est-ce utile ?
Christian Fiala : Avec les injections dites «anti-Covid» on a introduit une technologie inédite, l’ARN-messager. Cela intrigue, certes, mais les recherches sont quasi-inexistantes et les risques totalement inconnus. Rappelons-nous le sort de Marie Curie, qui avait mis en œuvre la technologie fascinante, inédite des Rayons-X, dont on ignorait alors tout – et elle s’est grillé les mains.
De tels incidents passés devraient servir d’avertissement, et nous amener a manier de nouvelles technologies avec précaution et les étudier en long et en large, avant de les balancer brut de décoffrage sur la population mondiale dans son ensemble.
Mendelssohn Moses : Concernant les innombrables effets adverses – et décès – suite aux «injections», phénomène interdit de discussion en France (les autopsies ne sont d’ailleurs presque jamais pratiquées), vous dîtes que nous sommes face à des affections inédites.
Christian Fiala : Je le répète : les injections à ARN-M reposent sur une technologie inédite qui vient se loger de manière centrale et massive dans le fonctionnement du corps, comparable aux Rayons-X. Les moyens diagnostiques adéquats qui permettraient de constater les séquelles n’existent tout simplement pas actuellement. Nous savons peu ou rien sur les effets à terme. En soi ce ne serait pas si grave, si les connaissances avaient été émergé peu à peu à travers des études contrôlées. Mais là, c’est un problème, un énorme problème, car ces injections au potentiel très dangereux ont été prises par des populations entières. En principe, nous avons juste répété l’affaire d’il y a 60 ans, sauf à une échelle mondiale. En 1960 seules des femmes enceintes ont été administrées cette substances nouvelle et à peine testée, substance qui a entraînée des malformations gravissimes chez les nouveau-nés. Avec les injections à ARN-messager «l’expérimentation» a été menée sur la terre entière. Nous n’avons même pas une fraction de l’idée de ce qui peut en conséquence nous tomber dessus.
Irradiée, Marie Curie ne se doutait de rien car il s’agissait d’un phénomène médical jusqu’alors inconnu.
Justement. Voilà où nous en sommes avec les injections à ARN-messager. Le risque, énorme et très réel, est que nous ferons le même constat : non seulement des atteintes massives et jusqu’à alors inconnues à la santé humaine, mais l’absence de thérapies efficaces tout comme pour les atteintes par irradiation.
Vous dîtes que si certains effets adverses des injections seraient aisément identifiables – ex. infarctus, syndrome de Guillain Barré -, d’autres ne sont nullement spécifiques à tel ou tel organe. Ainsi le tableau clinique présenterait le médecin avec des énigmes pour lesquels il n’aurait pas de recette facile.
Les injections dites «anti-Covid» représentent une technologie entièrement nouvelle, que nous ne comprenons que très partiellement. Elle s’immisce de manière centrale dans le fonctionnement de tous les organes, en fait du corps tout entier. On peut le comparer aux Rayons-X qui traversent tout et peuvent donc endommager n’importe quel organe.
Le plus inquiétant c’est que l’on observe que les blessures ne se limitent point à un seul organe mais peuvent toucher tous les organes et toutes les parties/membres du corps humain. La grande inquiétude naît de ce que les atteintes provoquées par les injections à l’ARN-messager se retrouvent de manière centrale dans le fonctionnement de toutes les cellules ! On sait que tous les médicaments comportent un risque pour tel ou tel organe, risque lié au mode de fonctionnement du médicament. Mais dans ce cas précis, le risque touche le corps dans son ensemble, tous les organes peuvent être atteints. En plus, on découvre que c’est totalement aléatoire, quel organe sera atteint chez tel ou tel personne !
Autre aspect crucial et particulièrement inquiétant en ce qui concerne les atteintes provoquées par les injections à l’ARN-messager : souvent lesdites atteintes touchent des organes qui n’ont que peu ou pas de capacités en réserve ou de régénération. Cela se sait dans le cas d’atteinte du foie par l’alcool ou des poumons par la cigarette. Dans les deux cas des organes sont touchés dont la capacité n’est que très peu entamée par une vie «normale». Autrement dit, on ne remarque quasiment rien alors que la moitié de l’organe est déjà endommagée. Par contre, lorsque le cœur ou le cerveau sont touchés par les injections à l’ARN-messager, des atteintes même minimes font surface, pouvant entraîner jusqu’au décès de la personne. D’autant plus que ces organes n’ont aucune capacité d’auto-guérison eu égard à leur faible capacité de régénération. Les dégâts observés seront donc irréversibles.
Le manque de connaissances scientifiques sur les injections à l’ARN-messager englobe aussi le problème de diagnostiquer les blessures. À l’instar de l’irradiation de Marie Curie, il nous est impossible de diagnostiquer de manière fiable l’impact de cette nouvelle technologie, ce qui nous laisse désemparés, et forcés d’attendre jusqu’à ce que les blessures ne deviennent observables.
Feu le Prof. Dr. Burkhardt, médecin légiste, a été parmi les premiers à analyser de manière systématique sous microscope les blessures conséquentes aux injections dites «anti-Covid» à ARN-m. En ce faisant, sa contribution a été essentielle pour ce qui est d’aider à comprendre ce qui se passait. De nombreux aspects de ces blessures restent cependant obscurs, mal compris. Les présentations du Prof. Dr. Burkhardt sont visibles ici. Il va falloir que de nombreux médecins investissent un effort conséquent de recherche si nous voulons un jour comprendre exactement ce qui se passe avec ces technologies.
De même, pour ce qui est des thérapies, nous n’en sommes qu’aux balbutiements. Nous constatons avec effroi que les thérapies habituellement mises en œuvre lors d’affections et d’atteintes provoquées par les injections à l’ARN-messager ne sont que rarement utiles. Par exemple, de nos jours un thrombose pris à temps se dissout très bien ; le patient rentre chez lui très vite comme si rien n’était. C’est tellement puissant que l’on a presque l’impression de faire un tour de magie ! Or, avec les thromboses causées par les injections à l’ARN-messager, même les médicaments les plus performants ailleurs ne les font pas céder. Et nous n’arrivons pas à comprendre pourquoi des thérapies efficaces à un degré presqu’incroyable ailleurs, échouent ici. Jamais dans l’histoire de la médecine moderne n’avait-on connu cela !
Mendelssohn Moses : Que pensez-vous du Protocole du Prof. Peter McCullough ?
Christian Fiala : En effet, certains médecins essaient de développer des thérapies (contre les effets adverses des injections -ndlr), notamment le groupe autour du Prof. McCullough. Ce sont des initiatives fort importantes ; il en fait beaucoup plus, et beaucoup plus de moyens financiers. Ces recherches auraient naturellement dû être entreprises avant d’injecter ces substances à l’ARN-m dans la moitié de l’espèce humaine. L’esprit peine à saisir comment, et avec quel degré d’irresponsabilité, une substance inédite ait pu être injectée en masse. Et on se retrouve en train d’essayer de comprendre en regardant dans le rétroviseur, qu’est-ce que l’on a fait là ? Pire encore, les industriels en question n’ont pas rendu public ni leurs connaissances ni leurs études.
Résultat des courses : nous les médecins sommes obligés de partir de Zéro pour analyser cette nouvelle technologie. À ce que je sache jamais auparavant n’a-t-on confronté un tel état des choses.
On ne peut que se demander quels pouvaient être les motifs de ceux qui en portent la responsabilité.
Mendelssohn Moses : L’équivalent du Freedom of Information Act (FOIA) vient d’entrer en vigueur chez vous. En quoi pensez-vous que cela aidera à arracher le voile de la Covidémence en Autriche, tel que l’on a vu avec les efforts prodigués par le cercle autour du Prof Stefan Homburg et Tom Lause en Allemagne ?
Christian Fiala : Eu égard à cette nouvelle loi, de nombreuses personnes ont déjà ou sont sur le point de déposer une requête. Reste à savoir comment en Autriche, les autorités y répliqueront. Au minimum on va espérer recevoir une réponse aux interrogations jusqu’ici restées lettre-morte.
Mendelssohn Moses : Que dire de l’éventuel rôle de l’IA dans la coordination des mesures Covidémentielles partout au monde simultanément ?
Lorsque l’on scrute l’organisation des mesures anti-«Covid», on remarque qu’à un degré difficilement inimaginable, les mesures inédites et énormes ont été imposées pratiquement simultanément partout au monde, chose qui probablement ne fut faisable que «grâce» à l’IA. Cela pourrait signifier que l’IA s’avère être un élément central de toute la campagne «Covid». Devrait-on s’en étonner ? Puisque l’IA a été développée par certains milieux politiques décisionnels afin d’être utilisé par eux d’une façon parfaitement ciblée.
Mendelssohn Moses : Pourquoi la Russie et la Chine ont-elles marché dans la combine covidémentielle ? Il semblerait que ces tests PCR, dont la l’inadéquation à ce type de maladie a été maintes fois démontrée, serait encore aujourd’hui exigée en Russie pour assister à certaines réunions officielles.
Au premier regard, on eût pu imaginer que la Russie et la Chine avaient pris un chemin autre que celui emprunté par l’Occident. Dans les faits toutefois, les mesures étaient les mêmes. Soulignons que la peur et la campagne a été utilisée dans tous les pays dans le même but : digitaliser la société pour mieux la contrôler et ce, massivement. Le soupçon naît donc que le «Covid» était une simple mise en scène des peurs, afin de distraire les peuples d’une digitalisation systématique qu’ils auraient autrement décisivement refusée.
Mendelssohn Moses : Une fraction importante de «l’élite» autrichienne s’agite pour faire entrer votre pays dans l’OTAN. Cependant, que pense votre peuple ?
Depuis des années déjà, une poignée de gens s’agite en ce sens. Au sein du peuple par contre le consensus largement partagé est que l’Autriche doit rester neutre et surtout éviter de rejoindre l’OTAN. Tant dans un avenir proche que dans un avenir prévisible, que ledit consensus disparaisse est fort peu probable. En de telles circonstances, on voit mal les politiciens imposer leurs souhaits qui vont à l’encontre de ceux du peuple.
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Pour aller plus loin : Court documentaire (en anglais) de l’Initiative Corona Info : www.initiative-corona.info.sur les injections
Nouvelle étude : «Rates of Successful Conceptions According to COVID-19 Vaccination Status : Data from the Czech Republic». Conclusions : En Tchéquie, le taux de conception réussie (CR) pour les femmes ayant pris le vaccin antiCovid-19 sont notablement plus fiable que pous les femmes non-vaccinées. Ces résultats préliminaires … exigent de nouvelles études sur l’impact éventuel des vaccins anti-Covid-19 sur la fertilité et la potentiel de fécondation.
Autre nouvelle étude sur les vaccins en général : Trailer
Étude complète. Citation «la probabilité de ne pas souffrir d’une affection chronique au cours des dix ans de l’étude était de 83% chez les non-vaccinés et de 43% chez les vaccinés».