Alexandra Henrion-Caude refuse d’oublier la tyrannie sanitaire — Enfant de la Société — Sott.net


Alexandra Henrion-Caude est une généticienne, docteur en génétique et ancienne directrice de recherche à l’Inserm. Formée à l’université Paris-Diderot, elle a poursuivi un post-doctorat à la Harvard Medical School avant de travailler à l’hôpital Necker-Institut Imagine.

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Alexandra Henrion-Caude

Spécialiste de l’épigénétique et des ARN non codants, elle a contribué à éclairer leur rôle dans des maladies pédiatriques rares ; son équipe a notamment décrit, chez des enfants de La Réunion, une encéphalopathie dite « syndrome de la Ravine » liée à une mutation unique d’un gène « sauteur » transcrit en ARN non codant. Elle vulgarise aussi ses sujets auprès du grand public, notamment via l’essai Les Apprentis sorciers.

Alexandra Henrion-Caude première voix censurée de la bioéthique française

Depuis près de trois décennies, la généticienne Alexandra Henrion-Caude dérange l’ordre établi. Femme de science et de conviction, elle fut la première à alerter sur les dérives bioéthiques, bien avant que le mot « pandémie » n’envahisse le vocabulaire politique. En 2020, avant même la crise du COVID, elle devient la première scientifique muselée dans l’espace public. Son crime : défendre une éthique de la vie contre le cynisme technocratique.

Lorsqu’elle dénonce la manipulation génétique dissimulée derrière l’ARN messager, elle franchit une ligne rouge pour les puissances pharmaceutiques et médiatiques. Les cellules de fact-checking s’abattent sur elle, preuve que ses analyses dérangent le cœur même du dispositif transhumaniste. Aujourd’hui, elle revient avec une énergie intacte, symbole de résistance intellectuelle et de courage scientifique.

Alexandra Henrion-Caude a toujours lié la question du vivant à celle de la liberté. Son opposition farouche aux lois bioéthiques laxistes ne découle pas d’une posture idéologique mais d’une vision : celle d’un humanisme enraciné dans la dignité. Elle refuse que la science soit confisquée par les multinationales et les ingénieurs du vivant.

En dénonçant les manipulations génétiques induites par l’ARN messager, elle rappelle que ces « thérapies » ne corrigent rien : elles modifient. Ce n’est pas un effet secondaire, c’est un changement de nature. C’est ici que se rejoignent les projets transhumanistes, les rêves d’eugénisme et les stratégies globales de contrôle biologique.

Vaccin ARN messager et bioéthique la ligne rouge franchie

La pandémie a servi de laboratoire politique et scientifique à une élite qui ne cache plus ses intentions. Derrière le prétexte sanitaire, l’objectif réel fut de tester sur les populations un outil de modification génétique présenté comme un « vaccin ». Alexandra Henrion-Caude l’a immédiatement compris : en touchant au code du vivant, on franchit une barrière que l’humanité n’avait jamais osé dépasser.

Ce n’est plus la médecine qui soigne, c’est l’ingénierie qui reprogramme. Ceux qui osent le dire deviennent ennemis de l’ordre mondial. Dès lors, sa mise au ban des plateaux télé et des institutions scientifiques fut inévitable : elle menaçait un système fondé sur la peur, la soumission et la technoscience.

L’ARN messager n’est pas un accident de parcours dans la recherche médicale, c’est une étape dans le projet transhumaniste. En agissant sur la structure même de nos cellules, il prépare un monde où le vivant sera ajustable, brevetable, contrôlable. L’eugénisme d’hier revient sous des habits numériques et biologiques.

Pour Alexandra Henrion-Caude, l’alerte n’est pas médicale, elle est civilisationnelle. Ses avertissements sur les essais en Afrique du Sud ou les dérives liées au don d’organes trouvent aujourd’hui un écho mondial. Elle incarne la frontière morale entre science et manipulation, entre progrès et servitude.

Un engagement total contre la dérive transhumaniste

Face à la censure et aux attaques, Alexandra Henrion-Caude n’a jamais reculé. Dès 2021, elle descend dans la rue, au contact du peuple, des victimes, des familles brisées par la gestion calamiteuse du COVID. Elle ne cherche pas les foules, elle cherche la vérité.

Même devant vingt personnes, elle parle avec la même intensité, convaincue que chaque conscience éveillée vaut une victoire. Elle invente de nouvelles formes de mobilisation — chaînes humaines, réunions locales, actions citoyennes — qui redonnent sens à l’engagement physique dans une époque anesthésiée. Dans un monde où la parole est confisquée, elle choisit le terrain.

Aujourd’hui, son retour sur GPTV marque une étape décisive. Alexandra Henrion-Caude n’est pas une dissidente, elle est une pionnière. Première de cordée dans la résistance bioéthique, elle a ouvert la voie à une science libre, délivrée du chantage industriel. Son combat pour la dignité humaine rejoint celui des peuples pour leur souveraineté.

Elle incarne la convergence des luttes : contre la censure, contre la marchandisation du corps, contre la mainmise de l’idéologie transhumaniste. Sa voix, que d’aucuns voulaient faire taire, résonne aujourd’hui plus fort que jamais.



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