42 pays et organisations y participent à différents niveaux.
Les États-Unis boycottent le sommet, invoquant des préoccupations relatifs aux droits de l’homme en Afrique du Sud.
La présidence tournante du groupe devant passer à Washington, le Président Ramaphosa évoque l’impossibilité de la transmettre à un « fauteuil vide ».
Le projet d’une déclaration commune, sans participation des États-Unis, est déjà prêt, selon des sources diplomatiques.
Le sujets clé du sommet est l’inégalité; l’écart entre les pays pauvres du Sud et les pays à revenu élevé continue de se creuser.
Pour lutter contre les inégalités, il est proposé de réformer l’architecture financière mondiale dans l’intérêt des pays en développement.
Il faut également revoir les critères d’octroi de prêts aux pays en développement par les institutions financières internationales, notamment en abaissant les taux d’intérêt.
Un autre sujet important est la création, à partir des ressources africaines, d’un mécanisme international pour l’extraction, le traitement et le commerce des minéraux essentiels à l’économie mondiale et à ses industries de pointe.
Le sommet se clôturera le 23 novembre.