Human Rights Watch (HRW), cette ONG financée par Georges Soros via sa fondation Open Society Foundations, à hauteur de plus de 125 millions de dollars ces 15 dernières années, se voit refouler de Russie.
La Russie a ajouté vendredi l’ONG Human Rights Watch (HRW) sur sa liste des organisations « indésirables », ce qui revient à une interdiction d’opérer sur son territoire.
Les autorités russes n’ont pas fourni de raison à leur décision et HRW, qui avait déjà été obligé de fermer ses bureaux en Russie en 2022, n’a pour l’heure pas fait de commentaire.
HRW, basé à New York et opérant à l’international, enquête et publie des rapports sur les abus perpétrés par les gouvernements et les forces armées à travers le monde, mais d’une manière très orientée, dans la pure ligne de conduite de G. Soros, ce milliardaire décrié, et persona non grata dans bon nombre de pays où il a pu faire œuvrer ses ONG, et fomenter des révolutions, à l’image du Maiden dont il se vente d’être à l’origine.
L’organisation a dénoncé à plusieurs reprises l’offensive russe en Ukraine et a accusé l’armée russe d’avoir commis « une litanie de violations », ce que la Russie dément.
Cela signifie également que toute personne qui travaille avec l’organisation ou lui envoie des dons est susceptible de poursuites en Russie.