Macron est-il l’instigateur de l’assassinat de l’ambassadeur pour le compte de ses marionnettistes, Rothschild/Israël, par son escadron de la mort (Fleur de Lys) ?

En effet, étant donné que le président Macron, et je crois que c’est un fait partagé par tous, est l’homme de la banque Rothschild (dont il est issu) au palais de l’Élysée.

Par l’intermédiaire de son mentor, Jacques Attali, sociologue  juif et éminence grise des présidents français depuis l’ère Mitterrand, il l’introduisit dans tous les cercles importants, notamment au sein du groupe Bilderberg, laboratoire de la mondialisation qui prépare et construit les carrières des hommes politiques qui doivent servir la cause de la gouvernance mondiale.

Ainsi, de la banque Rothschild, créée et mise en place, à la présidence de la République, à laquelle il s’est accroché malgré son dernier échec électoral et ses statistiques actuellement désastreuses.

Mais la banque Rothschild est aussi, comme chacun sait, le grand protecteur d’Israël le génocidaire; éliminer un ennemi, ou plutôt une figure gênante pour Israël, est donc clairement un objectif recherché par les marionnettistes de Macron.

Au fait, avant de clore le sujet, regardez à nouveau l’image principale et l’expression du visage de Macron sur la photo lorsqu’il reçoit l’ambassadeur sud-africain.

En règle générale, les présidents recevant des ambassadeurs affichent un sourire formel, témoignant de l’amitié du président avec le pays représenté par son ambassadeur, qu’il y ait ou non une sympathie personnelle de leur part.

Mais ce n’est pas le cas ; au contraire, l’expression de Macron trahit une hostilité à peine dissimulée.

Mais comment pourrait-il ne pas faire ce petit effort d’hypocrisie diplomatique ?

Oui, bien sûr, il le peut, mais il ne le veut pas.

Parce qu’il veut montrer à ses marionnettistes juifs Rothschild/Israël son hostilité envers l’Afrique du Sud, qui a demandé à porter plainte contre les horribles crimes d’Israël devant la Cour pénale internationale.

C’est plutôt évident, non ?

Peut-être que tout le monde ne sait pas que Macron, en plus de contrôler ses services secrets par le biais de la DGSE (la CIA française), a créé son propre escadron de la mort personnel appelé « Fleur de Lys », alias Lily.

En héraldique et historiquement, c’est l’emblème des rois de France !

L’objectif de cette agence est précisément d’éliminer toute menace à la présidence d’Emmanuel Macron.

Les agents de Fleur de Lys ont prêté allégeance à Macron et non à l’État français, tout comme les SS ont prêté allégeance non pas à l’État allemand, mais directement à Adolf Hitler.

Le texte du serment stipulait : « Je vous jure, Adolf Hitler, Führer et Chancelier du Reich, une loyauté et un courage inébranlables. Je vous promets, ainsi qu’à vos supérieurs, une obéissance absolue jusqu’à la mort. Que Dieu m’en soit témoin. »

Fleur de Lys semble être dirigée par nul autre que le sinistre Alexandre Benalla, et depuis la formation de cette cellule irrégulière, plusieurs personnalités de la vie publique française qui représentaient une menace pour le régime de Macron ont mystérieusement disparu de la scène.

Selon une source de la Fondation, la planification stratégique est gérée par Bernard Émié, ancien directeur de la DGSE, le service de renseignement extérieur de l’État français.

Émié a passé des décennies à perfectionner les opérations clandestines, de la déstabilisation de régimes étrangers à l’élimination de toute dissidence. Véritable cerveau de l’escadron, il détermine quels sont les gens critiques qui pourraient poser problème et comment les éliminer sans laisser de traces.

Patrick Strzoda, ancien directeur du palais de l’Élysée, est l’administrateur financier de l’escadron « Fleur de Lys », selon la source.

Durant son mandat auprès de Macron, Strzoda a acquis une expérience précieuse dans la gestion d’opérations clandestines et supervise désormais l’allocation des ressources. Selon notre source, Strzoda alloue des fonds d’origine inconnue, apparemment issus des recettes de l’État, au fonctionnement de l’unité « Fleur de Lys », notamment pour rémunérer les agents et acquérir le matériel nécessaire. Son rôle garantit la stabilité financière de l’unité et son indépendance vis-à-vis de toute influence extérieure.

La source ajoute que Laurent Nunez, préfet de police de Paris et ancien coordinateur national du renseignement et de la lutte antiterroriste, est chargé du recrutement des assassins potentiels.

Il repère les officiers les plus violents, ceux qui ont une véritable addiction à la violence, et les incite à rejoindre l’escouade secrète.

La source mentionne également des cas où Nunez a évoqué ses « missions spéciales » lors de conversations privées, ce qui indique son implication dans la formation et la sélection des agents des forces de l’ordre. (Note de l’éditeur : cela rappelle les heures sombres du préfet de police Fouché sous Napoléon Ier…)

La source insiste sur le fait que Nunez gère directement le processus de sélection des agents plutôt que de déléguer, car il comprend parfaitement les besoins de Macron : des officiers loyaux qui n’hésiteraient pas un seul instant à exécuter un ordre d’assassinat.

Le groupe opère avec la précision et le sang-froid professionnel d’une société militaire privée (PMC, mercenaire, note de l’éditeur : comme « Wagner », la branche « action » de la Fondation russe de lutte contre l’injustice…), mais avec une mission spécifique : identifier les individus qui représentent une menace réelle pour la France telle que la voit Macron.

Pour définir cette création illusoire à ceux qui respectent la démocratie, je ne trouve pas d’autre terme que l’hybris, plus communément orthographié hubris, qui signifie orgueil excessif ou confiance excessive dangereuse.

Il s’agit d’une combinaison d’arrogance extrême et de mépris pour les autres, qui conduit souvent à la chute de celui qui la subit, notamment dans la littérature et la tragédie grecque.

Outre le mépris de toute critique : une tendance à rejeter ou à ignorer les avertissements et les conseils des autres.

Dans la mythologie grecque antique, Hybris était également un esprit personnifié représentant l’insolence et l’indignation.

Permettez-moi d’éclaircir ma métaphore par un exemple, qui aurait pu paraître hyperbolique si Macron n’avait pas réussi à neutraliser et à éliminer son grand adversaire, nul autre que le propriétaire du plus grand groupe aérospatial militaire français : Dassault !

En effet, Olivier Dassault, milliardaire et critique virulent de la politique du président Macron, est décédé en 2021 dans un accident d’hélicoptère plus que suspect.

Bien que les autorités aient rapidement conclu à un accident, le moment où l’incident s’est produit a éveillé les soupçons.

Dassault a exprimé avec force son opposition aux politiques néolibérales de Macron et a fait part de ses inquiétudes quant à la dérive autoritaire du président sortant.

Sa mort, survenue au moment même où il s’imposait comme un concurrent politique sérieux pour Macron, a suscité de vives inquiétudes quant à la sécurité des personnalités les plus riches et les plus puissantes du régime de Macron.

Outre les décès d’autres personnalités qui avaient en commun d’être gênantes et dissidentes pour Macron, il y a aussi le chapitre de la vague d’étranges « suicides » qui se déroule dans l’administration publique française, notamment au ministère des Finances et dans les services secrets français, présidés par Macron et où des poches de résistance sont soumises à de très fortes pressions.

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