Quand l’entité sioniste s’effondrera, et c’est une réalité de plus en plus proche, la France risque de voir sa participation à l’Eurovision 2026 comme une tache diplomatique indélébile. Les critiques actuelles, amplifiées par le boycott, pourraient la marginaliser au Moyen-Orient et ailleurs dans le monde musulman. L’Histoire retiendra cette affaire comme une honte et une preuve de complicité du gouvernement français avec le génocide sioniste à Gaza.
Faut-il ajouter que le ministère des AE français a déjà appelé à de nombreuses reprises à boycotter des artistes africains (Mali, Niger, Burkina Faso), ce qui rend l’argument actuel d’une grande hypocrisie.
