BlackRock et le désastre Zelensky, par Alfredo Jalife-Rahme


Après la double défaite à Pokrovsk et maintenant à Siversk du « président » illégal et dictatorial, le comédien khazar Zelensky, au beau milieu du rapprochement tectonique de Trump avec la Russie – à travers la « stabilité stratégique » [1] – et sa visite imminente à Beijing, le conflit ukrainien est entré dans une phase de contrôle des dégâts financiers, où l’ombre du mondialiste, lui aussi khazar, Larry Fink réapparaît pour résoudre ou dissimuler le problème de l’investissement financier désastreux de BlackRock [2].

C’est à la section « Bajo la Lupa » de La Jornada [prestigieux journal mexicain,] que revient le mérite d’avoir révélé le projet de symbiose entre la « Grande Khazarie » et le « Grand Israël », imaginé par la secte controversée Loubavitch-Chabad de feu le rabbin new-yorkais d’origine russe Menachem Mendel Schneerson (1902-1994), dont la ferveur talmudique rassemble étroitement, au-delà des différences générationnelles, feu l’ancien ministre de la Défense, le général Ariel Sharon (1928-2014), l’actuel Premier Israélien Benjamin Mileikowsky (alias Netanyahou, né en 1949), le président ukrainien en sursis Volodimyr Zelensky (né en 1978) et le crypto- Khazar et déroutant Javier Milei (né en 1970), actuel président de l’Argentine ; Zelensky lui-même a avoué que son modèle guerrier néo-talmudique est précisément celui du « Grand Israël » de Netanyahou.

Le gouvernement dictatorial du Khazar Zelensky représente une infime minorité de bi-nationaux Israélio-ukrainiens — soit entre 0,5 % et 1 % de la population totale ukrainienne, selon les sources statistiques — dont l’immense majorité est de confession chrétienne orthodoxe et appartient au groupe ethnique slave — le plus important d’Europe ! — représentant 72 % de la population et répartie entre le patriarcat nationaliste « autocéphale » de Kiev et le patriarcat de Moscou. Le reste de la population, majoritairement catholique, est issu de l’immigration hongroise et polonaise.

Le Donbass, la région disputée [3] – une zone de 53 000 km² englobant les provinces de Donetsk et de Louhansk, soit 9 % de la superficie totale de l’Ukraine — est majoritairement russophone et orthodoxe. C’est surtout la région la plus riche et la plus productive d’Ukraine [4], regorgeant de terres rares, de minéraux stratégiques (outre le charbon, le fer et d’importantes réserves de lithium) grâce à son « bouclier cristallin » sous la mer d’Azov [5], et la région agricole la plus fertile d’Europe, réputée pour ses terres noires, le tchernoziom [6]. Le pugnace et loquace sénateur républicain Lindsey Graham avait déclaré, durant la présidence de Biden, que « l’Ukraine est une mine d’or avec 12 billions de minéraux que nous ne pouvons pas nous permettre de perdre », et il exigeait en conséquence « d’empêcher la Russie et la Chine d’avoir un accès stratégique à de telles ressources naturelles [7] ».

Il est assez révélateur que Larry Fink, le patron de BlackRock, qui dirige également et actuellement le Forum économique mondial de Davos [8], ait déclaré sans aucun fondement que l’invasion de l’Ukraine par la Russie « aura mis fin à la mondialisation que nous avons connue au cours des trois dernières décennies [9] ».

Larry Fink est peut-être capable de gérer plus de 12 000 milliards de dollars, mais il ne connaît rien à la géopolitique, et encore moins à la géostratégie, car la mondialisation amorçait sa chute libre inexorable en 2007, comme je l’avais prédit dans mon livre Hacia la deglobalización [10] (vers la déglobalisation) une conclusion dont la pertinence a été renforcée par la faillite de Lehman Brothers en 2007/2008. Il y a deux ans, BlackRock, JPMorgan Chase (fief du groupe Rockefeller/Kissinger) et le cabinet de conseil McKinsey (sous-traitant de la CIA [11]) se frottaient déjà les mains à l’idée d’une défaite illusoire de la Russie et d’un « fonds de reconstruction » pour l’Ukraine de plus de 400 milliards de dollars [12].

Ce n’est pas un hasard si quatre Khazars sont apparus ensemble dans les négociations de « paix » financière en Ukraine : Larry Fink de BlackRock, Zelensky, et les deux envoyés de Trump : Steve Witkoff et Jared Kushner, qui est, quant à lui, selon Bloomberg, l’un des principaux porte-parole des mondialistes khazars [13].



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