La pandémie de COVID-19 a laissé des cicatrices profondes sur le monde entier, avec des millions de vies perdues et des économies dévastées. Mais au-delà des récits officiels, une histoire parallèle émerge : celle des traitements précoces, efficaces et peu onéreux, qui ont été relégués dans l’ombre au profit d’options coûteuses et souvent moins performantes, selon la géographie dans laquelle vous vous trouvez. La science a été instrumentalisée au plus au point avec des analyses statistiques aux biais bien trop nombreux, occultant ainsi le soin prodigué aux patients qui ont été soignés.
Cette enquête s’appuie sur les données publiées par la plateforme indépendante c19early.org, qui compile en temps réel des milliers d’études scientifiques. Cette plateforme est précieuse car elle offre un résumé visuel de certaines études revues par des pairs, lesquelles comportent toujours des biais inhérents – qu’il s’agisse de conflits d’intérêts, de méthodologies imparfaites ou d’influences extérieures. En agrégeant ces données sans filtre institutionnel, elle permet une vue d’ensemble équilibrée, évitant les pièges des interprétations partisanes.
Résumé vidéo de l’enquête :
Détaillons ici, diapositive par diapositive, les révélations de cette enquête, en expliquant leurs conséquences sur la santé publique, l’économie et la confiance des citoyens. Nous aborderons également les critiques sévères portées à l’étude britannique RECOVERY, un exemple emblématique de biais potentiellement mortels.
La source de l’enquête : une plateforme indépendante pour démêler les faits

Contrairement aux sources officielles, souvent influencées par des intérêts financiers, cette plateforme laisse les données s’exprimer librement. Les conséquences de cette approche sont immenses : en visualisant des résumés d’études revues par des pairs – qui, malgré leur rigueur, portent toujours des biais comme des échantillons limités ou des financements orientés –, elle permet aux chercheurs et au public d’identifier des patterns ignorés ailleurs.
Par exemple, cela a révélé des traitements oubliés qui auraient pu réduire la mortalité mondiale, évitant des milliers de décès inutiles et allégeant le fardeau économique des hospitalisations prolongées.
La quête mondiale d’un remède efficace : deux voies divergentes
Un effort de recherche massif a impliqué plus de 350 protéines virales et facteurs humains, avec plus de 6 300 études sur 211 traitements. Elle a opposé les traitements à faible coût – des médicaments repositionnés, sécuritaires et disponibles immédiatement – aux options à haut profit, nouvelles et onéreuses.

Les conséquences de cette division sont tragiques : en favorisant les seconds, les autorités ont limité l’accès à des solutions abordables, potentiellement aggravant la surmortalité dans les pays pauvres et creusant les inégalités sanitaires. Cela a aussi érodé la confiance publique, car les citoyens ont perçu un système biaisé vers les intérêts pharmaceutiques plutôt que vers le bien commun.
La surmortalité : une tragédie évitable ?
La surmortalité cumulée a dépassé 4 000 décès ajustés par million d’habitants, avec une augmentation persistante même après des variants comme Omicron. Et cela malgré la vaccination, et les diverses mesures coercitives liées, dont la campagne a débuté fin 2020.

Il est intéressant de noter que, bien que disponibles, aucune intervention efficace n’a été adoptée tôt, hormis dans certains États de l’Inde (Uttar Pradesh), ou dans l’État du Para au Brésil, ou encore dans certains états américains. En France, seuls l’IHU Méditerranée du Pr Raoult et l’hopital de Garches où officiait le Pr Perronne ont soigné des patients (30 423 patients traités à l’IHU Méditerranée).
Les conséquences sont dévastatrices : des millions de vies perdues inutilement, des familles brisées et des systèmes de santé submergés, entraînant des coûts économiques colossaux en termes de pertes de productivité et de soins prolongés. Cela interroge la responsabilité des décideurs qui ont ignoré des données émergentes. Certains pays comme l’Italie ont lancé des commissions d’enquête covid, commission que l’on refuse toujours au sein de l’Union européenne par l’intervention occulte de la conférence des présidents de groupe alors que le quorum de 25% de députés européens avait été atteint, permettant de mettre le sujet à l’ordre du jour et ainsi déclencher un vote au Parlement européen.
La clé oubliée : l’importance du traitement précoce
Pour les médecins qui ont soigné et les spécialistes des maladies infectieuses, l’efficacité d’un traitement chute dramatiquement avec le délai – de près de 100 % d’efficacité si pris très tôt à presque 0 % en huit jours. Agir tôt est crucial pour réduire la mortalité et les hospitalisations.

Les conséquences de cette négligence sont claires : en se concentrant sur des traitements tardifs en hôpital, les protocoles officiels ont multiplié les décès évitables, surchargeant les unités de soins intensifs et prolongeant la crise économique.
Une adoption précoce aurait pu raccourcir la pandémie, préservant des emplois et la stabilité sociale.
La fracture entre approches : coût versus efficacité
Il est donc possible d’illustrer graphiquement la séparation entre traitements peu coûteux (comme l’ivermectine, la vitamine D, l’hydroxychloroquine, l’azithromycine) réduisant les risques, et les options chères (comme le remdesivir) souvent moins efficaces et parfois ayant des effets indésirables notoires.

Les conséquences incluent un gaspillage de ressources publiques : des milliards dépensés en médicaments brevetés, alors que des alternatives bon marché auraient pu sauver des vies à moindre frais, libérant des fonds pour d’autres urgences sanitaires.
L’anomalie des coûts : un gaspillage flagrant
Ayant la connaissance du coût des traitements, il est donc possible de comparer les coûts par vie sauvée : 26 dollars pour l’ivermectine, contre plus de 1,5 million pour le remdesivir si l’on prend en considération les informations disponibles dans diverses pays – c’est ce qu’a estimé C19early.org.

Les conséquences économiques sont stupéfiantes : des budgets de santé épuisés par des traitements inefficaces, aggravant les dettes nationales et limitant l’accès aux soins pour les populations vulnérables. Sur le plan humain, cela signifie que des décès qui auraient pu être évités ne l’ont pas été par le fait de décisions et priorités biaisées.

Bénéfice contre risque : les données qui condamnent
L’équipe de C19early.org a fait une méta analyses des 211 traitements : la majorité des options peu coûteuses réduisent les risques (en bleu), tandis que certains traitements officiellement autorisés les augmentent (en rouge).

Les conséquences : une confiance ébranlée dans les institutions, car les citoyens réalisent que des choix guidés par des intérêts extérieurs ont priorisé le profit sur la vie.
Premier indice : l’hydroxychloroquine sous le feu des critiques
L’hydroxychloroquine (HCQ), un antipaludéen connu depuis plus de 70 ans, préconisée et prescrite en combinaison avec l’azithromycine dès mars 2020 par l’IHU méditerranée, avec 424 études montrait 66 % d’amélioration en traitement précoce.

Pourtant, elle a été discréditée. Ici, on ne peut se passer de mentionner l’étude frauduleuse de Mehra et al publiée dans la prestigieuse revue The Lancet qui en mai 2020 permit de décrédibiliser l’hydroxychloroquine les médias et d’arrêter l’inclusion des patients dans des essais cliniques (Discovery en France) malgré les alertes de scientifiques sur les nombreux biais. Cette étude fut rétractée 10 jours après sa publication, cependant le mal était fait.
Il faut surtout évoquer l’étude britannique RECOVERY, un scandale dénoncé par France-Soir dès juin 2020 pour ses biais aux conséquences potentiellement mortelles pour les patients. Cette étude britannique a administré des doses excessives d’HCQ (jusqu’à 2 400 mg au cours des premières 24 heures, bien au-dessus des limites sécuritaires de 600 mg/jour), entraînant une surmortalité estimée à 143 décès supplémentaires dus potentiellement à des risques cardiaques. A ce jour, ces décès sont toujours masqués dans l’opacité des données, malgré l’analyse par reverse engineering effectuée par Lounnas et Azalbert en juillet 2020. Des conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique et un traitement administré trop tard (neuf jours après les symptômes) ont biaisé les résultats, favorisant des alternatives coûteuses comme le remdesivir.
Les conséquences : l’interdiction mondiale de l’HCQ a privé des millions de patients d’un traitement potentiellement salvateur, augmentant la mortalité globale et sapant la crédibilité scientifique. Ceci malgré des démonstrations d’efficacité dans des cohortes de grande taille comme à l’IHU Méditerranée.
Deuxième indice : l’ivermectine, un géant ignoré avec une montagne de preuves
Les 106 études conduites sur 220 000 patients, montrant une réduction significative du risque en traitement précoce de 61 % et de 84% en prophylaxie. Le suivi dynamique de la réduction de risque de l’ivermectine depuis les premières études en 2020 lui a toujours été favorable.
Quand on va plus loin dans l’analyse de ce traitement, les études ont permis d’observer une liste de réductions statistiquement significatives sur les divers critères étudiés : 47 % de réduction sur la mortalité, et 35 % sur la nécessité d’avoir recours à la ventilation.

Les conséquences de son occultation : des opportunités manquées pour freiner la propagation, prolongeant les confinements et leurs impacts psychologiques et économiques. En ignorant ces données, les autorités ont laissé filer une pandémie contrôlable, avec des coûts humains incalculables.
Et cette efficacité était connue dès aout 2020. Soit bien avant les autorisations temporaires d’utilisation pour les vaccins covid. Une analyse stratégique décryptée par France-soir dès août 2020 dans l’article « Guerre du vaccin, il faut éliminer le soldat hydroxychloroquine. »

Les conséquences : des hôpitaux auraient pu être moins engorgés et des économies massives en soins intensifs. auraient pu être réalisées en généralisant ce traitement.
Une boîte à outils complète pour tous les stades
En fait très vite en 2020, des traitements avaient été identifiés pour chaque phase de la maladie, comme la vitamine D (-62 % en précoce), tel qu’illustré dans la diapositive ci-dessous. Cependant les médecins de plateaux comme Karine Lacombe ou autres allaient à l’encontre des observations et expertises les plus anciennes notamment en discréditant la supplémentation en vitamine D.

Si une stratégie holistique avait été permise, alors cela aurait probablement eu comme conséquence de minimiser le « COVID long », réduisant les invalidités chroniques et les charges sociales.
Validation dans le monde réel : États-Unis et Brésil
Cependant toute étude scientifique se doit d’être validée par des données d’observations réelles car les études, même les essais randomisés en double aveugle ne permettent pas toujours de faciliter la prise en compte de tous les facteurs de risques. Il est donc nécessaire de « calibrer au réel » les effets des traitements en population générale. C’est là que la science se fracture, entre les ayatollahs des essais cliniques randomisés qui représentent pour certains la preuve la plus élevée en science, et les études observationnelles.

Il est plus facile de le comprendre en regardant ce qui se passe en marketing de grande consommation : quand on estime la demande d’un nouveau produit, sa désirabilité ou son intention d’achat afin de quantifier la production, on note une déperdition entre l’intention d’achat et l’acte d’achat lui-même. Plusieurs raisons peuvent expliquer ce phénomène comme le facteur prix, ou même la non-disponibilité du produit. Ce facteur doit être pris en considération afin de calibrer au réel les intentions d’achat et ne pas surproduire. D’ailleurs, si le gouvernement français avait utilisé cette approche de calibration au réel, il aurait dû diviser par un facteur 100 à 1000 les estimations de décès fournies par Neil Ferguson de l’Imperial College – ces sur-estimations importantes mèneront aux décisions de confinement de mars 2020.

Il convient donc d’analyser des cas réels d’usage à grande échelle des traitements Covid-19.
Aux États-Unis, sur les données analysées jusqu’à septembre 2020, les États autorisant l’HCQ librement ont vu une mortalité de 390 par million, contre 1 011 là où elle était interdite :

Une diminution marquante de 56% sur la mortalité, qui correspond à ce qui a été observé dans la cohorte de 30423 cas traités par l’IHU méditerranée (-58% dans la réanalyse indépendante de Lounnas et al).

De plus, cette différence s’observe dans divers Etats en fonction de leur couleur politique corrélée avec l’accès libre à l’hydroxychloroquine. On a donc observé une mortalité de 45 % supérieur dans les États démocrates qui n’ont pas facilité l’accès aux traitements.

Au Brésil, le professeur Francisco Emmerich a analysé les données de mortalité des divers Etats. En se focalisant sur deux Etats voisins avec des stratégies différentes, il a pu observer deux destins. Pourtant ces deux Etats présentent des caractéristiques géo-démographiques similaires tant en termes de climat que de population. Le ratio entre la mortalité observée dans les deux Etats lors de la première vague, était similaire à 0.92.

Cependant Emmerich a montré que l’État du Pará, adoptant les traitements précoces lors de la seconde vague, a eu une mortalité 5,5 fois inférieure à celle de l’Amazonas.

France-Soir avait eu l’opportunité d’interviewer Emmerich au sujet de son étude.
Les conséquences : des divisions politiques ont coûté des vies, exacerbant les inégalités et la polarisation sociale.
Le mur du silence médiatique
Comme pour la distribution dans le cadre de l’estimation de la demande de nouveaux produits, il convient de se pencher sur la distribution de l’information.

Cette analyse révèle un biais médiatique : 98 % des études positives sur les traitements bon marché ont été censurés, alors que pour les traitements onéreux promus par l’industrie pharmaceutique, 97% des études qui donnaient des résultats négatifs pour ces molécules, ont été ignorées par les médias. Le public n’aura donc été informé que des quelques études positives qui existaient pour les traitements onéreux. Une partialité qui questionne l’indépendance des médias et l’influence des laboratoires qui sont parmi les plus importants acheteurs d’espaces publicitaires.

Les conséquences : un débat public faussé, menant à des politiques erronées et une perte de confiance dans les médias et la science qui est observé dans les sondages France-Soir/BonSens.org

Ceci contribue à entrainer une véritable crise de confiance illustrée par le cercle vicieux de défiance envers les pouvoirs publics et les autorités sanitaires.

En conclusion, cette histoire occultée montre que des traitements précoces auraient pu sauver des millions de vies, mais des études avec de forts biais – comme dans le cas de l’étude RECOVERY – les ont étouffés, pour sauver des intérêts économiques et laisser la place à la solution vaccinale.

Les leçons sont claires : pour l’avenir, il faut prioriser les données indépendantes afin de restaurer la confiance et d’éviter que de telles tragédies ne se reproduisent.
Annexes données US

