
Les contraceptions sans hormones trouvent un intérêt chez les écologistes. Sous prétexte de se réapproprier son corps, elles cachent pourtant un conservatisme et des dérives antisciences.
Elles ont décidé d’éviter toute contraception hormonale, et privilégient d’autres méthodes dites « naturelles ». Terminé la pilule et le stérilet, bonjour à la technique du calendrier et aux prises de température. « J’ai lu que les hormones contenues dans les pilules se retrouvent dans les urines puis (…)
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