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Les « bouilloires du diable » sous ordre militaire ? – Les moutons enragés

ByVeritatis

Avr 9, 2024


Quand le narratif des “experts” de plateaux, minimise l’impact qu’aurait une frappe nucléaire “tactique” sur l’environnement et la vie en général, nous sommes en droit de nous poser des questions sur la santé mentale de ces individus. L’image de l’Ukraine, des années après Tchernobyl, ses forêts verdoyantes où la faune et la flore serait prospère est un mensonge. Tout y est contaminé pour des milliers d’années, les animaux ont une durée de vie limitée, ils sont sujets à des mutations, leur environnement et leur nourriture étant radioactifs. L’illusion d’un environnement “paradisiaque” où la nature aurait repris ses droits est trompeur. D’ailleurs, les villes sont abandonnées et le resteront, rien ne doit sortir du périmètre contaminé. La radioactivité est incolore, inodore, insipide et donc, facilement dissimulable aux populations. Revoyez l’historique des accidents, les populations sont les dernières averties.

Source Alexandre Moreau pour Collège Antithétique

L’Exécutif français panifie de réformer le contrôle de la sécurité des centrales atomiques dites civiles françaises, pour le confier à des militaires sous l’autorité du ministère des armées français. Cet article de l’Appel de Genève II détaille l’objet de cette réforme.

Un militaire étant un individu qui par le principe même de sa fonction doit demander une autorisation à un supérieur hiérarchique pour émettre la moindre idée ou opinion, est-ce pertinent de confier le contrôle de la sécurité des centrales atomiques françaises dites civiles, à des individus dotés d’une si faible individualité ?

Une fonction de contrôle de cette nature, ne requière-t-elle pas une forme d’indépendance hiérarchique, financière et psychique ? Une forme de liberté de conscience et d’expression ?

Selon le Docteur ès sciences Jean-pierre PETIT, notamment physicien des plasmas, l’ancien directeur de l’ASN (Agence de Sureté Nucléaire) français, André-Claude LACOSTE, une fois en retraite déclarait que l’ASN n’était pas fiable et qu’elle était presque sans moyens.

Ces déclarations d’André-Claude LACOSTE ne sont pas directement sourcées à ma connaissance, mais elles font écho aussi aux déclarations de son confrère l’ancien président de la NRC aux U.S.A., qui déclarait avant de démissionner qu’il faut tout simplement arrêter le nucléaire. La NRC étant l’agence de contrôle de la sécurité des centrales atomiques aux U.S.A.

Ces logiques d’appareils, d’intérêts ou mégalomanes de l’Exécutif français, vont de pair avec le fait que l’Homme par de multiples biais cognitifs en vient aujourd’hui à accepter les contaminations radioactives de la chaîne alimentaire, au préjudice de l’Homme et de multiples espèces vivantes du biotope terrestre.

Remettons les choses à leur juste place : l’univers depuis son origine dans le temps, soit, depuis le big-bang, est un lieu hautement radioactif dont la radioactivité décroît à mesure que le temps passe et la vie sur terre est apparue depuis que la radioactivité sur terre est devenue suffisamment faible pour qu’elle puisse émerger.

Il y a en moyenne 3500 incidents parfois très graves chaque année sur les centrales atomiques françaises dites civiles, sans même prendre en compte ce qui advient avec le nucléaire militaire (les vols ou les pertes d’armes atomiques partout dans le monde sont tellement fréquents qu’il existe maintenant un nom pour cela, les militaires parlent de cas de « Broken Arrow », ce qui signifie « flèche cassée » en français, l’existence d’un tel nom venant déjà normaliser ce fait pour ces fous). Concernant la réalité de ces incidents il y a pléthore de sources et étant libéral, par objectivisme je vais donc citer une source collectiviste, à savoir mediapart.

Selon, feu le physicien Georges LOCHAK, nous constations à Tchernobyl une disparition inexpliquée de plutonium et une présence tout aussi inexpliquée d’aluminium dans le bâtiment réacteur accidenté en 1986 en actuelle Ukraine (sans aucun parti pris de ma part sur la réalité des frontières actuelles de ce pays, potentiellement susceptibles d’évolutions, en cas de survie de l’espèce humaine sur terre).

La centrale atomique de Zaporijia en Ukraine est devenue une bastide, un château fort, sur un théâtre de guerre où les fous de tous pays revendiquent d’user d’armes atomiques tactiques, c’est-à-dire de bazookas atomiques portatifs manuels, que les singes et les chimpanzés mutants pourraient employer ici ou là entre les champs de betteraves, les églises dans lesquelles on y bénit des paires de pédés et les hôpitaux qui deviennent eux-mêmes une source nouvelle de contaminations radioactives de la chaîne alimentaire, lorsque leurs installations médicales contenant des matériels d’imagerie radioactifs, sont détruites.

Bazooka atomique, U.S.A., rayon d’action 80km, capacité de destruction d’une ville entière

Trois jours avant le positionnement des troupes russes à la frontière formelle ukrainienne fin novembre 2018, j’avais en vain tenté d’informer l’Exécutif français que cette guerre allait advenir et avant cela je publiais un article qui eut de l’écho, que je vous invite à relire et dans lequel j’y évoquais la possibilité d’une guerre de tranchées au milieu des centrales atomiques ukrainiennes. Cet article est aussi je l’espèce une source fiable d’informations concernant les conséquences sanitaires, physiques et biologiques de la radioactivité pour l’Homme sur terre.

Une centrale atomique est une triviale cheminée géante dans laquelle on brûle de l’uranium qui est un minerais naturellement radioactif. De cette combustion on retire des résidus de combustion desquels on extrait par traitement chimique le plutonium qui est la matière première avec laquelle les militaires fabriquent des bombes atomiques. Pendant cette combustion ces réacteurs atomiques dégagent beaucoup de chaleur et c’est cette chaleur qui est simplement détournée dans des tuyaux métalliques pour faire chauffer de l’eau dans des bouilloires géantes, qui elles-mêmes produisent alors de la vapeur d’eau, qui elle-même fait tourner des « dynamos » (comme sur un vélo mais en plus grand), qui elles produisent de l’électricité. Ces centrales atomiques ne sont ainsi que de triviales machines à vapeur de production de plutonium, lorsque la frontière entre le nucléaire civil et le nucléaire militaire n’est donc que purement imaginaire.

Pour pallier les cancers qui résultent en partie de cette radioactivité industrielle et militaire dans la chaîne alimentaire du biotope terrestre, cet Exécutif français vient maintenant inaugurer de nouveaux équipements toujours plus sophistiqués dans les hôpitaux. La boucle est ainsi bouclée, les acteurs respectifs de cette involution collective n’ayant aucune approche systémique de la problématique des cancers.

Il n’y a donc qu’une seule solution et aucune autres à mon sens, c’est l’arrêt total, immédiatement planifié et définitif du nucléaire civil et militaire, en France, puis par capillarité et mimétisme d’action partout dans le monde, car c’est ici l’Homme qui vient dans cette nef de fous, à dévorer son âme, sa vie ne comptant déjà plus pour lui.

Ne sous-estimons pas l’Homme.

L’Homme fait ses choix, en meute et individuellement. Par mimétisme d’action la meute détermine le comportement de l’individu, lorsque l’individu peut interdire un consensus dans une meute.

L’Homme n’a aucune obligation à éprouver par la souffrance et la mort jusqu’au nihilisme pour son espèce et le biotope terrestre, ce qu’il peut de la même façon éprouver par un divorce à l’amiable, une séparation, une négociation, une conjugaison, le commerce, l’étude, la philosophie, les arts, l’exploration ou des amitiés transversales.

Une action pour un paradigme

Pour ma part j’ai procédé à un signalement terroriste en ligne auprès du ministère de l’intérieur français à l’endroit des individus qui sur les plateaux de télévisions viennent à promouvoir l’usage d’armes atomiques dites tactiques, car de telles déclarations devant des millions de téléspectateurs relèvent à mon sens de la comparution immédiate à la barre d’un tribunal correctionnel, lorsque ceux qui se livrent à de tels débats sont fous.

Je vous invite tous à en faire de même pour contribuer à ce vivant changement de paradigme et non pour trouver des coupables, raison pour laquelle je ne cite pas ici de noms.

La primauté du Droit civil sur le Droit public ou militaire est ainsi désormais inaliénable en matière nucléaire et d’armes de destruction planétaire voire stellaire, si chacun le décide, y compris par ses actes dans son rapport à la police comme en Droit, dans tous pays par mimétisme d’action.

Alexandre Moreau

COLLÈGE-ANTITHÉTIQUE

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