Goncourt/Houris : Kamel Daoud accusé d’avoir volé l’histoire de son « roman » par l’héroïne !


Séisme dans le milieu parisien de l’édition, plus précisément dans la maison Gallimard qui vient de se faire décerner le prix Goncourt pour le dernier « roman » de Kamel Daoud, Houris (voir notre vidéo Le Goncourtisan). Un journaliste algérien de la chaîne One vient de publier une vidéo interview d’une dame qui se présente comme étant l’héroïne du dernier roman de K. Daoud, car elle y a reconnu de nombreux détails de sa vie privée et de son drame familial qu’il faut bien qualifier d’extraordinairement violent.

Effectivement, cette dame, Madame Saada Arbane, née en 1993 dans l’ouest de l’Algérie, a été victime d’un acte terroriste d’une rare barbarie ayant exterminé toute sa famille. Elle-même a été égorgée et laissée pour morte ; elle a survécu miraculeusement. Elle garde de nombreuses séquelles de cette nuit cauchemardesque dont la plus importante est la perte de ses cordes vocales ainsi que quelques cicatrices.

Mme Saada Arbane accuse Kamel Daoud de lui avoir volé l’histoire de sa vie dans son livre primé Houris, qui serait selon elle une « biographie » et non un « roman ». Plus grave : elle accuse sa psychiatre, l’épouse de Kamel Daoud d’avoir piétiné le secret médical, car elle est la seule à connaître les détails de sa vie privée ! Hier encore, elle a bien insisté selon elle, et à plusieurs reprises, sur le fait de ne « jamais » écrire de livre en s’inspirant de sa vie.

Elle affirme qu’elle a été extrêmement choquée et surprise de retrouver sa vie privée étalée dans ce livre après le signalement de quelques amis vivant en France. Elle en a perdu le sommeil et l’appétit, elle se plaint également de nombreuses céphalées… Mme Saada Arbane estime qu’elle a été trahie par sa psychiatre qui était censée la soigner et certainement pas aggraver sa situation.

De nombreuses preuves existent

Les détails qui démontrent la violation de la vie privée de la patiente de son épouse psychiatre sont nombreux en commençant par le fait qu’elle soit une fille adoptive, sa mère ayant été adoptée elle aussi par son oncle. Il faut ajouter à cela le fait que sa mère adoptive soit puissante au sein de la société oranaise, disposant d’un certain pouvoir. Ce qui aurait empêché, selon elle, K. Daoud d’écrire ce livre de son vivant, attendant son décès. Il est question également du lycée Lotfi où elle a effectué ses études et où elle a rencontré son futur mari, des cicatrices sur son visage, de ses tatouages et de leurs significations, du dispositif respiratoire et phonatoire fixé à son cou, de la chirurgie qu’elle devait subir en France et la pension de victime du terrorisme qu’elle perçoit, de sa tentative d’avortement, des salons de beauté, de la nature conflictuelle de sa relation avec sa mère adoptive qui l’a poussée à consulter la psychiatre…

Kamel Daoud a multiplié les déclarations sur les médias parisiens affirmant que son roman n’est rien d’autre qu’une fiction qui relate des événements de la décennie sanglante algérienne. Il insiste bien sur le terme « fiction » alors que ce témoignage précis et poignant affirme l’inverse

Mme Saada Arbane affirme vouloir déposer plainte contre l’auteur et son épouse psychiatre. Elle exprime la volonté d’écrire elle-même un texte pour raconter sa véritable histoire.

Réactions attendues

Nous avons contacté Gallimard via le réseau social Twitter/X. On imagine que la stratégie de la maison d’édition sera celle de la négation de la réalité, elle fera comme si cette interview-témoignage n’avait jamais existé. C’est la technique de l’édredon, il faut étouffer l’affaire afin de continuer à vendre quelques dizaines de milliers d’exemplaires. Idem pour le Point qui embauche Kamel Daoud et toute la mafia de la presse parisienne. Le très mauvais Botul fera fonctionner son réseau à n’en point douter.

N’ont-ils pas tout fait pour cacher la condamnation de Kamel Daoud pour violence conjugale avec arme blanche au tribunal correctionnel d’Oran en 2019 ? Alors que les trois pages du jugement circulent sur Internet depuis des années, la presse parisienne n’en a jamais parlé et préfère le présenter comme un grand défenseur de la cause féminine.

Il s’agit pourtant d’une double accusation de piétinement du secret médical par le vol d’informations privées ainsi que de recel de ces informations privées protégées. Si la Doxa ne parle pas de ce témoignage dans les jours qui viennent, cela démontrera qu’il est question d’un prix politique qui n’a rien à voir avec la littérature ou le roman. Ce n’est rien d’autre que de la subversion du lobby sioniste parisien utilisant K. Daoud ou un autre pour atteindre ses objectifs : diaboliser l’islam et les musulmans aux yeux du peuple français et continuer tranquillement leur génocide en Palestine.





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